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17 mai 2015 02:12
Manuel Valls discute quotas de migrants, l’Etat islamique les infiltre
C’est une information exclusive de la BBC. La chaîne britannique vient d’indiquer avoir été informée par des officiels Libyens que l’Etat islamique a infiltré des terroristes dans les bateaux de migrants militants, avec la mission de se rendre en Europe « préparer des attaques ».

Il faut mettre les choses dans leur contexte. La France a déclaré que la menace terroriste était à son niveau maximum. Il semble que le maximum pouvait encore être dépassé et la situation plus grave.

Manuel Valls s’est rendu à la frontière italienne pour dire qu’il est contre les quotas de réfugiés. Pourtant Bruxelles a décidé que chaque pays européen devra accepter son quota de terroristes.

« Je suis contre l’instauration de quotas de migrants. Ceci n’a jamais correspondu aux propositions françaises » a indiqué le premier ministre aux journalistes. « L’asile est un droit, attribué selon des critères internationaux appliqués par tous les pays de l’Union européenne. C’est aussi pour cette raison que le nombre de ses bénéficiaires ne peut faire l’objet de quotas: on est demandeur d’asile ou on ne l’est pas. »

Manuel Valls a cependant déclaré que les réfugiés, et donc les terroristes de l’Etat islamique infiltrés parmi eux, doivent être « répartis entre les États membres de façon plus équitable », précisant que « cela suppose de tenir compte des efforts déjà consentis par chacun. »

Autrement dit, tout le monde aura droit à ses terroristes et leurs attentats de façon équitable. Sauf le Royaume-Uni et la Hongrie qui rejettent toute notion de quotas.

Et ces terroristes là, aucun service de renseignement ne peut les détecter : faux papiers, passé fabriqué, famille inventée, comment faire le tri.

Mais rassurons nous. La France a besoin de migrants. C’est ce que révèlait l’enquête annuelle « Besoins en main-d’œuvre » de Pôle Emploi, publiée en 2012.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
16 mai 2015 16:59
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
16 mai 2015 02:51
Islam et islamisme. L’interview vérité oubliée d’Ahmed Aboutaleb, maire de Rotterdam

12/05/2015 – 07H00 Rotterdam (Breizh-info.com) – Le 17 février dernier, un peu plus d’un mois après les attentats de Paris, Ahmed Aboutaled, maire de Rotterdam, premier musulman maire d’une métropole européenne, donnait une interview à l’hebdomadaire « L’Express » à propos de l’islam, de l’islamisme mais aussi des sociétés européennes, du multiculturalisme et de ses échecs.
Une interview choc , sans concession, étonnamment passée sous silence, peu commentée et peu reprise par la presse mainstream. Il est vrai que les propos tenus par cet élu social-démocrate ne sont pas vraiment dans l’esprit « Je suis Charlie » distillé depuis la tuerie de Charlie Hebdo par le Parti socialiste et ses relais.

Déjà, au lendemain des attentats, le maire de Rotterdam – arrivé en 1976 avec sa famille aux Pays-Bas, en provenance du Maroc – avait demandé aux islamistes de « foutre le camp. » hors d’Europe. « Je peux comprendre que certains de mes coreligionnaires aient pu se sentir offensés par Charlie Hebdo mais, dans ce cas, il existe des protocoles tels que le recours aux tribunaux.» explique l’édile de Rotterdam avant de trancher : « J’ai voulu dire que si l’on revendique le vivreensemble, il faut accepter le compromis; ceux qui s’y refusent n’ont qu’à faire leur examen de conscience et avoir l’honnêteté de reconnaître qu’il n’y a pas de place pour eux ici.»

Avec M. Aboutaled, il n’existe pas de #pasdamalgames : « Ces criminels ont construit leur démonstration à partir de l’islam. Dire que l’islam n’a rien à voir avec leurs actions, c’est vraiment absurde. » tout en déclarant que les autorités religieuses musulmanes d’Europe n’ont pas du tout été à la hauteur et qu’elles se montrent incapables de faire leur révolution 2.0 en occupant l’espace Internet, ce que font parfaitement les islamistes à la recherche de proies.

Au journaliste qui lui demande si les attentats de Paris sont comparables avec l’assassinat du cinéaste Theo Van Gogh ou aux fusillades de Copenhague, là encore, réponse tranchée : « Oui, bien sûr. Van Gogh était un simple particulier avec une grande gueule. Il ne menaçait personne. Lorsqu’il a été assassiné par Mohammed Bouyeri, je m’étais adressé à ceux qui se réjouissaient de ce crime : « Partez !, leur avais je dit. Vous serez plus heureux en Afghanistan ou au Soudan! Après tout, il y a des avions qui décollent d’Amsterdam toutes les cinq minutes… » Je n’ai pas changé de position. ».

Pas question donc, pour le maire de Rotterdam, de construire des centres d’accueil pour les djhadistes néerlandais comme souhaite le faire Manuel Valls, en France. Ils doivent quitter le territoire Européen, selon M. Aboutaled, et dans le même temps, les mineurs en dangers doivent être pris par l’Etat à leurs parents pour éviter toute menace. Dans le même temps, les criminels « doivent être mis hors d’état de nuire ».

Au journalisme qui demande avec une forme d’angélisme comment on devient un islamiste (il emploie le mot extrémiste) , le maire de Rotterdam réfute toute excuse sociale – une excuse chère aux commentateurs et aux politiques français : « Certains élus mettent en avant les conditions sociales défavorables, les discriminations, l’échec scolaire, le racisme… Franchement, je ne vois aucune preuve à l’appui de cette thèse. Pourquoi des millionnaires saoudiens partent-ils pour Raqqa? A cause de la misère, du racisme? En réalité, ces gens-là se construisent leurs propres vérités, qu’ils souhaitent imposer à d’autres à coups de kalachnikov.».

Ahmed Aboutaleb donne enfin son opinion sur ce que représente l »immigration massive vers l’Europe en provenance de l’Afrique. Lui qui est également issu de cette immigration estime qu’« en général, ces réfugiés sont bien traités en Europe. Mais, s’interroge l’élu, faut-il continuer à les accueillir alors même que certains parmi ces migrants ou, à plus long terme, leurs enfants vont nous menacer ? Est-ce la meilleure manière de remercier ceux qui les ont accueillis ? C’est une question légitime et je comprends que de nombreux Européens se la posent. »

C’est peu dire que cette interview, donnée par un important responsable politique – musulman et de gauche de surcroît – dans un pays membre de l’Union européenne, a provoqué de la gène dans la plupart des médias français. D’où le silence qui a suivi ces déclarations fracassantes. Déclarations sans doute représentatives de ce que doivent penser aujourd’hui bon nombre de musulmans, à la fois choqués par les exactions des islamistes, mais également courroucés par l’angélisme dont font preuve les responsables politiques et les médias vis à vis de certains de leur coreligionnaires.

Crédit photo : Wikipedia (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
15 mai 2015 02:27
Quand un Africain rétablit la vérité sur la traite des esclaves
Quand un Africain rétablit la vérité sur la traite des esclaves

Entre les gesticulations "mémorielles" de la communiste Angela Davis aux commémorations anti-esclavage de la ville de Nantes, les exigences sonnantes et trébuchantes du CRAN auprès de la famille Seillière, dont la fortune, opportunément issue de la traite, pourrait permettre de juteuses compensations, entre François Hollande qui inaugurait aujourd'hui le plus grand centre au monde d'expression et de mémoire sur la traite et l'esclavage à Pointe-à-Pitre, et les imprécations menaçantes de Christiane Taubira, qui ne perd pas une occasion de rappeler ses origines et de se poser en passionaria de la cause noire, les Français dits "de souche" n'ont plus qu'à se résigner : ils sont d'horribles esclavagistes, et doivent faire leur mea culpa.

Mais la réalité a la peau dure et mauvaise volonté, et fait voler en éclats les images d'Epinal de Madame Taubira et autres spécialistes de la culpabilisation. Outre-mer 1ère interrogeait, le 29 avril 2014, l’anthropologue et économiste sénégalais Tidiane N’Diaye, auteur de "Le génocide voilé" (éditions Gallimard, 2008). Un Africain, un Noir, donc. Il dit (extraits) :

"Alors que la traite transatlantique a duré quatre siècles, c’est pendant treize siècles sans interruption que les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains et de la castration généralisée."[...]

"J’ai l’habitude de rappeler que mon travail ne cherche à communautariser ni l’histoire ni les mémoires. Ce qui serait la porte ouverte à une hiérarchisation victimaire, donc une approche dénuée de tout caractère scientifique.[...]

Par conséquent [...] je n’ai pas oublié de rappeler d’abord, que les premières victimes de cette calamité furent les Slaves, que les Vénitiens et les Marseillais allaient razzier en Europe centrale et orientale, pour les vendre aux notables du monde arabo-musulman.

Cela devait durer toute l’époque carolingienne au Xème siècle sous les monarques saxons Henri l’oiseleur et Otton Ier. Comme on sait, il fallut l’émergence d’États puissants en Europe de l’Ouest et l’arrêt de l’expansion arabe aux Pyrénées pour que cela cesse. Et c’est pour combler ce déficit en eunuques et esclaves blancs, que les Arabo-musulmans allaient massivement se tourner vers les peuples négro-africains.[...]

Quelles ont été les caractéristiques de la traite arabe par rapport à la traite transatlantique ?
Tidiane N’Diay
e : "Pour la traite transatlantique, en dépit de la monstruosité des traitements, des humiliations et autres calamités, un esclave avait une valeur vénale. Le maître le voulait productif et rentable à long terme.

Le but n’était donc pas l’extermination d’un peuple malgré la querelle sémantique opposant certains chercheurs à ceux qui veulent qualifier ce crime contre l’humanité de génocide. Alors que pour ce qui est de la traite arabo-musulmane, plus que le crime des occidentaux, les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles.

La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés, ont presque tous disparu du fait des traitements inhumains, de l’infanticide et de la castration généralisée, pour qu’ils ne fassent pas souche dans le monde arabo-musulman.

Il faut dire qu’à partir du moment où l’Afrique noire devenait leur principale source d’approvisionnement en esclaves, dans l’inconscient collectif des Arabes, l’homme noir devenait aussi symbole ou synonyme de servitude.

Et sa couleur de peau sera même associée à un déni d’islam. Alors que cette religion comme toutes les autres, a hérité du joug de l’esclavage. Et si l’islam tolérait, voire recommandait l’asservissement de non convertis, il n’a jamais clairement ciblé les peuples noirs comme particulièrement prédestinés à l’asservissement.

Mais des érudits respectés et très écoutés dans le monde arabe, allaient interpréter les textes sacrés, pour justifier et perpétuer la traite et l’esclavage des Noirs.

Ainsi bien avant que les chercheurs européens de l’anthropologie physique n’élaborent au 19ème siècle les théories raciales fantaisistes que l’on sait, dans le monde arabe on avait déjà figé dans le temps et de manière presque irréversible l’infériorité de l’homme noir.

Ce qui explique sans doute que les traitements inhumains et la mutilation généralisée des captifs noirs étaient acceptés et passaient pour un moyen commode pour empêcher que ces « animaux » ne prolifèrent sur leurs lieux de déportation. Le résultat est que de nos jours, ils ont presque tous disparu en Turquie, au Yémen, en Irak et on en trouve très peu au Maghreb ou en Arabie Saoudite." [...]

On arrive ainsi à une évaluation proche des 17 millions de morts ou de déportés dont la plupart étaient des survivants castrés par les Arabes. Force est donc de reconnaître, que cette traite arabo-musulmane fut un véritable génocide de peuples noirs par razzias sanglantes, massacres et castration massive.

A titre de comparaison, si de nos jours près de 70 millions de descendants ou de métis d’Africains peuplent le continent américain, des États-Unis au Brésil passant par les Iles de la Caraïbe, seule une infime minorité de Noirs a pu survivre en terres arabo-musulmanes." [...]

Aussi, force est de reconnaître que les misères, la pauvreté, la longue stagnation démographique et les retards de développement actuels du continent noir, ne sont pas le seul fait des conséquences du commerce triangulaire, comme bien des personnes se l’imaginent, loin de là. Rien n’est comparable à l’infamie qui a ravagé les populations africaines, avec l’arrivée des Arabes et la traite négrière à grande échelle qu’ils inaugurèrent. L’Afrique en subit encore les conséquences."[...]

Pourquoi la traite arabo-musulmane est-elle si peu connue et étudiée, sinon carrément occultée ?
Tidiane N’Dia
ye : "En fait cette traite, qu’il est difficile de ne pas qualifier de génocide de peuples noirs par massacres, razzias sanglantes puis castration massive, chose curieuse, très nombreux sont ceux qui souhaiteraient le voir recouvert à jamais du voile de l’oubli, souvent au nom d’une certaine solidarité religieuse, voire idéologique.

C’est comme un pacte virtuel scellé entre les descendants des victimes et ceux des bourreaux, qui aboutit à ce déni. L’entente tacite est bien réelle.

Parce que dans cette sorte de « syndrome de Stockholm à l’africaine », Arabo-musulmans et Africains convertis s’arrangent sur le dos de l’Occident.

Les descendants des victimes sont devenus des obligés, amis et solidaires des descendants des bourreaux, sur qui ils décident de ne rien dire. Ce silence ou la sous-estimation du mal arabe permet de mieux braquer les projecteurs, uniquement sur la traite transatlantique. Ceci comme un ciment devant réaliser la fusion des Arabes et des populations négro-africaines, longtemps « victimes solidaires » du colonialisme occidental."



"Alors, que des lettrés et autres intellectuels arabo-musulmans, tentent de faire disparaître jusqu’au simple souvenir de cette infamie, comme si elle n’avait jamais existé, peut encore se comprendre. Ces derniers ne se décident toujours pas à regarder leur histoire en face et à en débattre avec leurs compatriotes. Ce qui explique que ce pan de l’histoire de l’humanité, reste encore profondément enfoui dans la mémoire coupable de ces peuples qui en sont responsables.

En revanche, il est difficile de comprendre l’attitude de nombreux chercheurs - et même d’Africains américains qui se convertissent de plus en plus à l’Islam - qui n’est pas toujours très saine et fortement animée par une sorte d’autocensure. Comme si évoquer le passé négrier des Arabo-musulmans revenait à essayer de minimiser la traite transatlantique.

C’est ainsi qu’un voile de silence a longtemps recouvert cette sombre page de notre histoire commune, parce qu’on y observe une étrange amnésie même de la part des élites noires. Elles ont du mal à passer d’une vision mémorielle affective de ce génocide, pour des raisons de solidarité religieuse, à tout simplement une approche distanciée et scientifique de l’histoire qui elle, ne traite que de faits avérés, comme c’est le cas pour la traite transatlantique."[...]

Il ne reste plus à Monsieur N'Diaye qu'à rappeler que les Africains ont été eux-mêmes les acteurs de leur déportation vers l'esclavage, certaines tribus n'hésitant pas à vendre leurs voisins aux prédateurs arabo-musulmans. La vérité finit toujours par triompher.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
14 mai 2015 02:57
(Esclavage aujourd’hui) Grande-Bretagne : 1 400 mineures blanches violées par des criminels pakistanais protégés par les autorités
(Esclavage aujourd’hui) Grande-Bretagne : 1 400 mineures blanches violées par des criminels pakistanais protégés par les autorités

« Personne ne connaît l’ampleur de l’exploitation sexuelle qu’ont subi des enfants à Rothertham à travers les années » a précisé Alexis Jay, auteur d’un rapport sur la mise en esclavage de plusieurs centaines d’enfants blancs par des gangs criminels pakistanais durant plus de quinze ans à Rotherham.

Les menaces des familles des criminels, comme la peur et la honte des Blancs agressés et les mensonges des autorités ont empêché de dresser un bilan exhaustif des crimes racistes commis contre les Blancs par les occupants de la Grande-Bretagne. L’enquêtrice a reconnu que, les plaintes de nombreuses victimes ayant été ignorées par la police, il a été impossible de retrouver la trace de nombreuses blanches violées.

Selon les chiffres obtenus, 1.400 enfants mineurs ont été victimes de viols entre 1997 et 2013 à Rotherham, dans le nord de l’Angleterre. Les Pakistanais ont commis contre ces Européens d’innombrables crimes parmi les plus odieux ; certaines ont été contraintes à se prostituer, ont été « prêtées » à des réseaux de criminels étrangers opérants dans d’autres villes.

« Des enfants ont été aspergés d’essence puis menacés d’être enflammés, ont été menacés avec des armes, ou encore ont été forcés d’être témoins de viols très violents ».

D’autres ont été « victimes de viols collectifs, d’échanges avec d’autres villes du nord de l’Angleterre, enlevés, battus et intimidés ». Les plus jeunes filles identifiées avaient onze ans.

Ces crimes ont été commis avec la complicité des autorités. La police a reçu de nombreuses plaintes sans jamais enquêter ; les faits ont fait l’objet de trois rapports officiels, que les services de Rotherham ont ignoré ou censuré.

Les victimes blanches ont subi le véritable racisme antiblanc du système. Le professeur Alexis Jay note que la police a « considéré un grand nombre de ces victimes avec mépris ». Certains fonctionnaires complices des racistes antiblancs ont « fait part de leur nervosité à identifier les origines ethniques asiatiques des auteurs présumés, de peur de passer pour raciste ».

À ce jour, seuls cinq criminels pakistanais ont été condamnés à de légères peines de prison ; aucun des fonctionnaires ni des élus de Rotherham – ces derniers s’étant contentés de présenter leurs « excuses à ceux qui ont été abandonnés alors qu’ils avaient besoin d’aide » n’ont été poursuivis. Aucun n’a fait l’objet de salutaires mesures de justice populaire.

La mairie de Rotherham était dirigée par des travaillistes, la version britannique de la gauche marxiste ; le maire Roger Stone a annoncé sa démission après la parution de ce quatrième rapport.

Outre les criminels marxistes, les esclavagistes bénéficiaient de l’appui de certains des leurs au sein de la municipalité, comme celui de Jahangir Akhtar, qui a sciemment caché les faits, sachant que ses coreligionnaires ciblaient des enfants blancs.

Il est à noter que la totalité des médiats francophones qui ont évoqué l’affaire ont masqué le caractère raciste antiblanc des criminels Pakistanais, présenté en France comme des « Asiatiques », alors que ces faits sont très clairement présentés ainsi par les médiats du système britannique comme The Guardian.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
14 mai 2015 02:54

BREIZATAO

 

Alors que la Russie vient de nouer un partenariat énergétique stratégique avec la Turquie et la Grèce pour un gazoduc commun devant rejoindre la Serbie, la Hongrie, l’Autriche et l’Italie.

 

La CIA a réagi en déclenchant une agitation islamo-nationaliste albanaise depuis le Kosovo en Macédoine.

Un exemple caricatural de l’alliance stratégique islamo-atlantiste en Europe.

 

Alternative au projet South Stream

De la même façon que la Russie achemine son gaz en Allemagne via le gazoduc “North Stream” (“Courant Nord”), Moscou entend garantir son partenariat avec l’Union Européenne en développant un projet analogue pour l’Europe méridionale et centrale, “South Stream” (“Courant Sud”) tout en contournant l’Ukraine.

Les USA, soucieux de briser une alliance stratégique euro-russe afin de s’assurer de la domination mondiale au détriment des Européens et des Russes, tentent en effet de créer un “cordon sanitaire” tourné contre Moscou partant des états baltes jusqu’à la Mer Noire, Ukraine incluse.
D’où le coup d’état mené à Kiev par la CIA dans ce pays en février 2014.

Suite à cet événement, Washington a obtenu l’abandon du soutien bulgare au projet “South Stream” qui devait voir le jour :


 

 

Vladimir Poutine, actant de la soumission de la Bulgarie aux USA, annonçait formellement, début décembre 2014, l’abandon du projet “South Stream” (source) :

“Comme nous n’avons toujours pas reçu la permission de la Bulgarie, nous pensons que dans la situation actuelle la Russie ne peut pas poursuivre la réalisation de ce projet”.

 

Accord russo-turco-grec

La Turquie ambitionnait de faire transiter du gaz d’Asie Centrale et d’Orient – en concertation avec les USA – sur son territoire vers l’Europe dans le cadre du projet de gazoduc “Nabucco”.
Ce concurrent direct au projet “South Stream” a été progressivement abandonné et Moscou vient d’offrir à Ankara une alternative : le “Turkish Stream”.

Ce gazoduc permettra de livrer, dès 2016, la Turquie en gaz à un prix revu à la baisse par Gazprom (source).
Avec l’arrivée d’Alexis Tsipras au pouvoir à Athènes, le nouveau gouvernement grec est à la recherche de toutes les opportunités économiques possibles.

Moscou a profité de ce changement politique pour proposer aux Grecs l’extension du projet turco-russe à la Grèce.
Ce qu’a rapidement accepté le gouvernement d’extrême-gauche.
Cet accord entre la Russie et la Grèce avait été salué par l’Allemagne, Berlin s’opposant de plus en plus fermement à l’ingérence américaine dans les affaires euro-russes (source).

 

La Macédoine en ligne de mire de la CIA

Avec la création de ce “Turkish Stream”, la Russie dispose d’une alternative au South Stream pour l’acheminement de son gaz vers l’Italie, la Serbie et la Hongrie.

Aussi, les efforts américains en Ukraine et en Bulgarie pour couper l’accès du gaz russe au marché européen sont-ils sérieusement menacés d’échec.

Cette perspective d’un accord entre la Grèce et la Russie fait littéralement paniquer Washington qui a envoyé il y a deux jours un émissaire à Athènes pour exiger de la Grèce qu’elle abandonne son partenariat avec Moscou (source).
Le ministre de l’Energie grec a redit la volonté de la Grèce de maintenir son projet de participation au projet russe.

Mais pour réaliser le “Balkans Stream”, alternative au “South Stream”, il faut que la Russie puisse faire transiter le gazoduc conjoint par la Macédoine.

Agitation albano-islamiste fomentée par la CIA

La CIA a donc décidé d’agiter ses fidèles vassaux de la mafia albanaise.
Ainsi, une attaque menée depuis le Kosovo, un non-état où est située une des plus grandes bases américaines en Europe (Camp Bondsteel), a frappé le territoire macédonien au non d’un séparatisme albanais sur les frontières de l’actuelle Macédoine.
Après avoir tué 22 personnes, les assaillants se sont ensuite repliés vers leur base arrière, protégés par les forces de l’OTAN.

Le but de la manoeuvre est clair : faire échec à l’alternative d’acheminement de gaz russe en Europe en menaçant de guerre indirectes les autorités macédoniennes susceptibles de rejoindre l’accord entre Russes, Grecs et Turcs.

En guise de hors d’oeuvre, les Macédoniens ont vu une résurgence récente de l’action des musulmans albanais sur leur territoire.

D’abord une action contre 4 policiers s’était déroulée fin avril (source).

 

Le but est bien sûr de mener une guerre non-conventionnelle identique à celle menée en Syrie par les USA et leurs vassaux, en agitant leurs alliés musulmans locaux.

 

Dans le même temps, des provocations multiples de la part des ultranationalistes musulmans d’Albanie ont visé la Serbie, comme l’annonce faite en avril d’une annexion “inéluctable” du Kosovo par Tirana (source).
Une façon indirecte pour Washington de faire chanter Belgrade, au cas où le gouvernement serbe accepterait de faire transiter le gaz russe vers l’Europe centrale, Hongrie et Autriche notamment.

Révolution colorée en Macédoine

En parallèle, l’OTAN et les USA pourraient tenter de créer une crise politique visant à mettre au pouvoir un gouvernement fantoche, sur le modèle ukrainien, afin de contrecarrer le projet russe établi en concertation avec les Serbes, les Grecs et les Hongrois.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
14 mai 2015 02:37
Poutine / Merkel: fin du mythe des bonnes relations germano-russes

Le discours sur l'Ukraine et la Crimée se radicalise et empoisonne les relations entre les pays de l'Union européenne et la Russie. C'est d'un autre côté le but recherché. Et le prix à payer. La dernière rencontre entre V. Poutine et A. Merkel est en ce sens révélatrice de l'évolution du discours. Et de l'impasse pour l'Europe.

Les mots ont un pouvoir créateur. Selon le contexte, les termes employés vont revêtir un sens différents et auront pour effet de créer une réalité particulière. Les mots deviennent de plus en plus fort, lorsqu'ils doivent créer une réalité qui s'écarte de plus en plus des faits. C'est exactement ce qui se passe dans les discours politiques autour de l'Ukraine aujourd'hui.

P. Poroshenko, Président de l'Ukraine, devant exécuter les accords de Minsk prévoyant un plan de route pour une résolution politique du conflit en Ukraine, remercie le ministre des affaires étrangères canadien pour l'aide militaire que lui apporte son pays, tout en l'assurant de l'exécution des accords de Minsk. Il faut créer le discours de l'exécution par l'Ukraine de ces accords, le répéter en préambule et ensuite parler de ce qui intéresse réellement. Ce mythe est fondamental pour le discours des "partenaires" occidentaux. Les accords sont ainsi sauf et seuls les "méchants séparatistes" les violent.

Et pendant ce temps-là, les observateurs de l'OSCE tombent sous le feu de l'armée ukrainienne dans le Donbass, près de Lugansk. Pour explication, le soldat ukrainien responsable explique qu'il ne savait pas qu'il y avait des observateurs de l'OSCE à ce moment-là à cet endroit. Effectivement ça change tout, car les différentes réalités s'entrecroisent alors et il est difficile de masquer les faits.

Pour que le mécanisme fonctionne, il faut que la "réalité" nouvellement créée reste dans son espace et ne croise pas l'espace du fait. Alors, chacun peut prétendre à la création de son monde. Autre exemple. Le jour de l'anniversaire du référendum reconnaissant l'indépendance de Donetsk et Lugansk, Pouchiline affirme que les républiques de Donetsk et Lugansk seraient d'accord s'il y avait plus d'indépendance dans le cadre ukrainien.

La déclaration faite justement le jour anniversaire permet également de garder un discours posant la résolution politique du conflit comme faisable, malgré la radicalité des faits posés par le référendum.

Théoriquement possible. Si le régime de Kiev change d'idéologie (pour ne plus vouloir détruire les russes ethniques), accepte la fédéralisation (quand Poroshenko parle d'Etat unitaire). Autrement dit, c'est impossible. Mais le discours est maintenu. Il permet de garder une porte ouverte, si/quand le régime tombe/ra. Il permet également de maintenir les apparences pendant que le processus d'étatisation des petites républiques est en marche. Là c'est le monde des faits.

Tout cela atteint son apothéose avec la conférence de presse commune de V. Poutine et A. Merkel à Moscou lors de la visite de la chancelière le 10 mai. Pas le 9, les Etats Unis étaient contre la visite des chefs d'Etat européen en Russie pour célébrer la victoire du monde libre contre le nazisme et le fascisme. Question de symbole, donc de pouvoir, Moscou ne peut être le lieu de cette célébration.

Mais il faut garder les apparences, donc Merkel vient le 10, regrette les atrocités nazies, pose des fleurs, bref fait tout ce qu'il faut ... mais ni quand il le faut ni comme il le faut. Donc l'effet est radicalement différent et le message n'est pas celui de l'unité face à l'horreur. En effet, l'ambiance est tendue. Voici la conférence de presse (en russe):

V. Poutine commence par souligner le fait que les relations germano-russes ne vivent pas leurs meilleures heures, en raison des différences d'interprétation de la situation en Ukraine. Il insiste sur la chute du volume d'échange commerciaux, chute de 6,5%, alors que le business est contre les barrières politiques arbitrairement mises en place par l'Union européenne.

Et chose surprenante, alors que la Russie avait reconnu les élections présidentielles ukrainiennes, peut être un peu vite, le président V. Poutine insiste et recoure expressément à l'expression "coup d'Etat inconstitutionnel" à Kiev (4.38 min), "coup d'Etat" qui est interprété différemment selon les pays.

L'ambiance est posée. Et A. Merkel continue dans le même sens parlant de "l'annexion de la Crimée par la Russie" (11 min) en face de V. Poutine, ce qui est très fort et à la limite de l'insulte en diplomatie. Bref, le divorce est consommé. Le mythe des bonnes relations germano-russes malgré le contexte géopolitique a pris fin. Une nouvelle réalité est née, plus proche des faits.

L'Europe, l'Allemagne en tête prend fait et cause pour le camp américain. La Russie en prend acte et démontre ne pas vouloir modifier sa politique européenne pour autant, actant dans le même temps son virage asiatique. La nouvelle carte est officiellement posée. Les jeux sont faits.

Le 12 mai, J. Kerry vient en Russie.

A l'ordre du jour beaucoup de questions, notamment l'Ukraine. Mais pas les sanctions. Ce qu'affirme le porte-parole du Kremlin. Traduction: la Russie ne va pas vendre sa position, elle n'est pas là pour s'abaisser à négocier un "pardon".

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
13 mai 2015 23:48
Faute grave: aucun européen à Moscou pour le jour du « V »

En ce 9 mai 2015, nous commémorions le 70ème anniversaire de la victoire contre l’Allemagne nazie. Cette date restera dans les livres d’histoires comme celle ou ce que l’on appelle « l’occident », et qui n’est en réalité que le cercle des alliés européens des Etats-Unis à commis une faute politique majeure. Dans cette faute, la responsabilité du Président François Hollande est importante, et pourrait avoir des conséquences profondes.

Sous les pressions des Etats-Unis, une majorité des pays européens ont renoncé à envoyer un Président ou un Premier ministre à Moscou pour la grande parade commémorant la Victoire. Mais, et ceci est extrêmement important, la Chine, l’Inde et de nombreux pays d’Amérique Latine ont fait le déplacement.

Si l’on mesure démographiquement le poids de ces représentants, ils pèsent plus de 50% de la population terrestre. Si l’on mesure économiquement leur contribution, elle est élevée, autour de 40%. Parler dans ces conditions d’un « isolement » de Vladimir Poutine est une absurdité.

Mais, la symbolique politique est encore plus importante. Ont fait le déplacement à Moscou les chefs d’Etat ou les chefs de gouvernement des pays des « BRICS » et des pays de l’OSC, l’organisation de Sécurité et de Coopération.

Plus encore, la présence des chinois et des indiens acquière une signification particulière. La population de la Chine a payé d’un prix humain extrêmement lourd un conflit qui, pour elle, a commencé non en 1939 mais en 1937. En fait, elle est – derrière l’URSS – le deuxième pays à avoir le plus souffert.

Les atrocités commises par l’armée japonaise ont été abominables. Les troupes indiennes se sont battues, tant contre l’Allemagne et l’Italie que contre le Japon. La participation de contingents des armées chinoises et indiennes au défilé de Moscou a, à l’évidence, une portée qui dépasse la simple commémoration.

Il était donc clair que ce 9 mai allait revêtir une importance particulière. Du fait de l’attitude des Etats-Unis, mais aussi du fait de la couardise, pour ne pas utiliser de mots plus blessants, de dirigeants européens, ce 9 mai 2015 a entériné la coupure du monde en 2. Il a symbolisé l’opposition d’un « ancien monde », celui du bassin atlantique à ce nouveau monde en train d’émerger autour de l’Asie, et qui attire à lui sans cesse de nouveaux pays.

On ne peut, à cet égard, que constater que les initiatives chinoises, ou Sino-Russes, de la Banque Asiatique d’Investissement dans les Infrastructures (BAII/AIIB) jusqu’au projet d’union eurasienne ne cessent de prendre de l’ampleur. Ces initiatives auraient pu être conçues dans un cadre ouvert sur « l’ancien monde ».

C’est la responsabilité des Etats-Unis, mais aussi de ceux qui par suivisme à courte vue ou par peur leur ont emboité le pas que d’avoir provoqué cette rupture symbolique entre ces deux mondes que l’on a vérifiée avec le défilé du 9 mai.

La responsabilité de François Hollande.

Traditionnellement, c’est la France qui cherche à rétablir le dialogue et qui se bat, parce qu’elle a une conception universaliste de certains principes, pour faire tomber les préventions et réduire les hostilités entre blocs. Le Général de Gaulle a prononcé de nombreux discours contre le « politique des blocs », dont celui de Phnom Penh, en 1967, est le plus fameux.

En décidant, à la dernière minute, d’envoyer Laurent Fabius, notre Ministre des Affaires Etrangères, non seulement François Hollande a commis une faute lourde, mais il s’est discrédité durablement sur la scène internationale.

L’envoi du Ministre des Affaires Etrangères représente clairement un indigne « entre deux ». Si l’on voulait être présent à Moscou, c’était au Président de se déplacer, voire à son Premier ministre (Manuel Valls) qui, rappelons le, dans la Constitution, « dirige la politique du pays ».

Mais, François Hollande a préféré aller se mettre au chaud dans les Caraïbes, et Manuel Valls se complaire dans une polémique indigne contre Emmanuel Todd. L’Histoire retiendra cette désertion, à la fois physique et morale, des deux autorités les plus importantes de notre pays.

Mais, le plus grave, est que si, dans le futur, la France s’émeut – à juste titre – de cette résurgence de la « politique des blocs » elle n’aura plus aucune légitimité pour parler contre. François Mitterrand, qui avait un sens de l’Histoire, et de la formule, avait utilisé l’expression de « petit télégraphiste » pour dénoncer la visite de Valery Giscard d’Estaing à Moscou au début (1979) de la guerre d’Afghanistan.

Mais aujourd’hui, au moment où il eut été important d’être à Moscou ne serait-ce que pour témoigner par sa présence de l’unité du monde et pour reprendre langue avec ces dirigeants du « nouveau monde », le Président français a préféré jouer les abonnés absents. Son absence est une démission.

Les conséquences.

Cette démission aura, n’en doutons pas, des conséquences profondes et durables, du moins tant que ce personnel politique là restera au pouvoir. On oublie, ou bien l’on feint d’ignorer que Vladimir Poutine est, au sein du gouvernement et de la classe politique au pouvoir en Russie, l’un des plus pro-occidentaux. En un sens, il a pris acte des principes de la politique internationale qui fondaient les relations internationales depuis les années 1980, au moment où ces derniers étaient de plus en plus abandonnés par les Etats-Unis et leurs alliés.

La question des principes et des règles qui doivent régir les relations internationales est au cœur de la problématique défendue par Vladimir Poutine depuis le discours qu’il prononça à Munich en 2007. Il est revenu à de nombreuses reprises sur ce thème, et en particulier en 2012. Cette dernière déclaration est particulièrement importante car elle date de bien avant la crise ukrainienne.

L’un des points sur lesquels Poutine se prononce est : «La récente série des conflits armés démarrés sous le prétexte d’objectifs humanitaires est en train d’affaiblir le vieux principe de la souveraineté des Etats, créant ainsi un vide légal et moral dans la pratique des relations internationales. Il est souvent dit que les droits de l’homme sont supérieurs à la souveraineté des Etats.

Ceci est incontestablement vrai – les crimes contre l’humanité doivent être punis par la Court International. Mais, quand la souveraineté des Etats est trop aisément violée au nom de ce principe, quand les doits de l’homme sont protégés de l’extérieur sur une base sélective, et quand les mêmes droits d’une population sont piétinés dans le processus d’une telle protection, incluant le droit primordial et le plus sacré – le droit à sa propre vie – ces actions ne peuvent être considérées comme une noble mission mais plutôt comme une totale démagogie ».

Cette question était déjà pendante en 2007 quand Vladimir Poutine avait réclamé la clarification des règles du Droit international. Dès 2003, à propos de l’intervention américaine en Irak, on pouvait voir que cette tendance à interpréter les règles à leur seul profit était une tendance de la politique des Etats-Unis. On sait que cette dérive de la politique américaine vers un « interventionnisme » de plus en plus important n’a fait que se renforcer.

De même, il fait, en 2012, cette réflexion quand à la volonté des Etats-Unis de se constituer en bastion invulnérable : « Par définition l’invulnérabilité absolue pour un pays requiert en théorie que tous les autres pays soient vulnérables. Ceci ne peut être accepté ». On voit bien ici toute la responsabilité de la politique américaine dans le raidissement progressif de la position russe. L’incapacité des Etats-Unis d’admettre que le XXIème siècle ne sera pas le siècle américain est grosse de conflits.

Multipolarité ou unipolarité du monde.

L’attitude des Etats-Unis, et des pays qui les suivent ou qu’ils contraignent de les suivre est en train d’aboutir à souder une alliance du nouveau monde contre l’ancien. Ceci n’était pas le projet initial de Vladimir Poutine, qui dans son discours de 2007 parle d’un monde multipolaire. La reconstruction de la Russie n’impliquait pas l’affrontement direct avec les Etats-Unis.

La Russie, si elle cherchait à dégager les institutions internationales de l’influence américaine, ne voulait pas pour autant les accaparer. Lors de la conférence de Munich en 2007, on trouve cette déclaration de Vladimir Poutine : “ J’estime que le modèle unipolaire n’est pas seulement inadmissible pour le monde contemporain, mais qu’il est même tout à fait impossible. Non seulement parce que dans les conditions d’un leader unique le monde contemporain (je tiens à le souligner : contemporain) manquera de ressources militaro-politiques et économiques. Mais, et c’est encore plus important, ce modèle est inefficace, car il ne peut en aucun cas reposer sur une base morale et éthique de la civilisation contemporaine.

On n’a pas accordé l’attention requise à ce que disait Vladimir Poutine. Pourtant, il le répétait un peu après toujours dans le discours de 2007 : “ Nous sommes témoins d’un mépris de plus en plus grand des principes fondamentaux du droit international. Bien plus, certaines normes et, en fait, presque tout le système du droit d’un seul État, avant tout bien entendu, des États-Unis a débordé de ses frontières nationales dans tous les domaines : dans l’économie, la politique et dans la sphère humanitaire, et est imposé à d’autres États.

Dans un article, publié à la fois dans la presse russe et dans le Financial Times le Ministre des finances de l’époque, Alexis Koudrine, déclarait : « Il n’est pas difficile de comprendre que si l’une de ces structures [Koudrine fait ici référence tant au FMI qu’à la Banque Mondiale] est perçue par une part significative du monde comme assurant la domination d’un pays ou d’un groupe de pays, elle perdra sa légitimité. Elle cessera d’être un instrument efficace ».

Ce passage montre que la position russe articule deux éléments distincts mais liés. Le premier est un doute quant aux capacités d’un pays (ici les États-Unis sont clairement visés) à rassembler les moyens pour exercer de manière efficace son hégémonie.

C’est un argument de réalisme. Même le pays le plus puissant et le plus riche ne peut à lui seul assurer la stabilité du monde. Le projet américain dépasse les forces américaines. C’est un constat sur lequel il y a peu à redire. Mais il y a un second argument qui n’est pas moins important et qui se situe au niveau des principes du Droit. Il n’existe pas de normes qui pourraient fonder l’unipolarité.

Dans son ouvrage de 2002, Evguenni Primakov, qui fut Premier ministre de la Russie en 1998 et 1999, et qui reste un des grands connaisseurs de la politique internationale, ne disait pas autre chose. Non que les différents pays ne puissent définir des intérêts communs, ni même qu’il n’y ait des valeurs communes.

Le discours de Poutine n’est nullement “ relativiste ”. Il constate simplement que ces valeurs (la “ base morale et éthique ”) ne peuvent fonder l’unipolarité, car l’exercice du pouvoir, politique ou économique, ne peut être défini en valeur mais doit l’être aussi en intérêts.

Ceci revient à refuser la thèse d’une dépolitisation des relations internationales, qui devraient se réduire, dans l’esprit de ceux qui soutiennent cette dépolitisation, aux Droits de l’Homme et aux “ lois ” de l’économie. Si les relations internationales ne sont pas de la “ technique ” (la simple mise en œuvre de normes communes) mais de la politique (la gestion d’intérêts différents et potentiellement conflictuels) y compris dans les relations économiques, alors toute aspiration à l’hégémonie devient immorale.

On comprend alors qu’il est important de briser cette dynamique de la politique des blocs pour revenir, et il est clair que c’était ce que le gouvernement russe attendait de la France, vers une dynamique d’un monde multipolaire. Mais, nous sommes obligés de constater que le gouvernement français, son Président et son Premier-ministre ont sur ce point (comme sur beaucoup d’autres) failli.

Au-delà de la honte et de la colère que nous inspire l’attitude de François Hollande et de Manuel Valls, au-delà du dégout que nous inspire l’insulte faite non seulement aux peuples russes mais aussi au peuple chinois et indien, et à tous les autres qui sont venus à Moscou en ce 9 mai, nous devons faire la froide constatation que par calcul ou couardise les dirigeants français, en abdiquant leur rôle naturel, contribuent à précipiter le monde vers un futur fait de guerres et de conflits.

Cette responsabilité là, celle d’avoir renoncé à une politique gaullienne au moment même où elle s’imposait, témoigne de leur incapacité congénitale et restera devant l’Histoire. C’est une faute, et – on le sait depuis Talleyrand – les fautes en politique sont pires que les crimes.

Il faut se souvenir du poème, Les Scythes, écrit par Alexandre Blok en 1918. Ses mots résonnent aujourd’hui encore avec une force étrange. N’écrivait-il pas alors : « Camarades ! Nous serons frères !/ Mais si vous refusez, — nous n’avons rien à perdre./ Et nous aussi nous pouvons être perfides.

Durant des siècles vous serez maudits/Par vos enfants et les enfants de vos enfants, tous malades !/Partout, nous nous retirerons/Dans l’épaisseur de nos forêts.

À la séduisante Europe/Nous montrerons notre gueule asiatique. »

Jacques Sapir

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13 mai 2015 02:18
Merci Hollande ! L'Arabie saoudite veut présider le Conseil des droits de l’homme ! Embarras parmi les diplomates, peur et colère parmi les ONG.

L'Arabie saoudite convoite la présidence du Conseil des droits de l'homme Cela a d’abord commencé par une rumeur qui a enflé et gagné les couloirs du Palais des Nations.

L’Arabie saoudite convoiterait la présidence du Conseil des droits de l’homme… Impossible, inimaginable.

Pourtant, cette rumeur n’en est plus une.

Faisal bin Hassan Trad, le représentant permanent de l’Arabie saoudite auprès de l’ONU, arrivé à Genève en janvier 2014, est bel et bien en train de faire campagne au sein du groupe Asie pour être son candidat lors du renouvellement qui doit intervenir en fin d’année.

Actuellement, le Conseil est présidé par l’Allemand Joachim Ruecker dont les qualités et l’engagement font l’unanimité.

L’Arabie saoudite était l’un des huit pays à ne pas signer la Déclaration universelle des droits de l’homme lors de son adoption en 1948. Aujourd’hui, la monarchie saoudienne continue à pratiquer une justice expéditive très éloignée des standards démocratiques occidentaux.

L’égalité entre hommes et femmes n’existe pas, les homosexuels sont condamnés à mort, aucune autre religion que l’islam n’a sa place, la liberté d’expression relève du fantasme.

«L’Arabie saoudite est en train de faire le forcing auprès de ces autres pays pour être désignée.

Si jamais elle y parvient, ce sera une catastrophe pour le Conseil des droits de l’homme. Cela risque de nous renvoyer aux pires heures de l’ancienne commission qui avait sombré dans le discrédit», confie un diplomate occidental sous couvert d’anonymat.

Sur le papier, rien ne s’oppose en effet à ce que l’Arabie saoudite puisse présider un jour le Conseil des droits de l’homme. Elle en est membre à part entière, élue pour trois ans renouvelables par l’Assemblée générale de l’ONU.

Mais cette perspective suscite d’ores et déjà embarras et malaise au sein du Conseil et un début de colère parmi les défenseurs des droits de l’homme.

Lire l'intégralité - See more at: http://www.info-contre-info.fr/international/merci-hollande-larabie-saoudite-veut-presider-conseil-droits-de-lhomme-embarras-parmi#sthash.XzNzN1Fi.dpuf

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12 mai 2015 02:38
Les réactions de colère en Turquie à la vague de reconnaissance internationale du génocide arménien se poursuivent

Alors que le président turc Recep Tayyib Erdogan, le Premier ministre Ahmet Davutoglu, les membres du gouvernement AKP et les médias islamistes pro-AKP poursuivent leurs attaques contre le Vatican, le Parlement européen, la France, l’Autriche, l’Allemagne et la Russie, en raison de leur reconnaissance officielle et non officielle du génocide des Arméniens par les Turcs ottomans en 1915, lors des cérémonies du centenaire des événements,[1] de nouvelles voix se font entendre dans les médias turcs anti-AKP réclamant que la Turquie les reconnaissent comme un génocide.

Le 24 avril 2015, la Turquie a également célébré le centenaire de sa victoire lors de la bataille de Gallipoli, par des cérémonies fastueuses, auxquelles ont participé le prince héritier Charles et le prince Harry, les Premiers ministres d’Australie et de Nouvelle Zélande, et des dignitaires de plusieurs pays du Moyen-Orient et d’Afrique. Le même jour, une cérémonie solennelle dans la ville d’Erevan commémorait le massacre des Arméniens ottomans, en présence notamment du président français François Hollande et de son homologue russe Vladimir Poutine.

Les dirigeants turcs ont exprimé leur mécontentement devant la présence de ces dirigeants à Erevan ; le président Erdogan a ainsi déclaré que lors de cette cérémonie, ils allaient « se réunir, jouer et danser sur leur propre musique »[2] et qu’il aurait souhaité qu’ils ne s’y rendent pas. Il s’est aussi vanté que, alors que deux chefs d’Etat s’étaient rendus à Erevan, « grâce à Allah, 20 étaient venus en Turquie » pour le centenaire de Gallipoli.[3]

Cette année, le président des Etats-Unis Barack Obama s’est abstenu d’employer le mot « génocide », dans sa déclaration annuelle sur la commémoration arménienne des événements de 1915, suscitant la colère de la communauté arméno-américaine,[4] mais cela n’a pas empêché les critiques turques des Etats-Unis et d’autres pays occidentaux.

Tandis que la mouvance anti-occidentale a largement envahi les médias pro-AKP en Turquie, de nouvelles voix se font entendre dans les médias non islamistes du pays, critiquant le déni officiel par la Turquie du génocide perpétré contre les Arméniens au cours de la Première Guerre mondiale.

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12 mai 2015 01:18

Transcription :

Mes chers concitoyens russes,

Chers vétérans,

Honorables invités,

Camarades soldats de l'armée de terre et de la marine, sergents et officiers mariniers, aspirants et adjudants,

Camarades officiers, généraux et amiraux,

Je vous adresse à tous mes félicitations en ce 70e Anniversaire de la Victoire de la Grande Guerre Patriotique !

Aujourd'hui, alors que nous célébrons cet anniversaire sacré, nous nous rendons compte à nouveau de l'ampleur de la Victoire sur le nazisme. Nous sommes fiers que ce soient nos pères et grands-pères qui aient réussi à surmonter, écraser et détruire cette force obscure.

Le projet inconscient d'Hitler est devenu une dure leçon pour la communauté internationale tout entière. A l'époque, dans les années 1930, l'Europe éclairée n'a pas été capable de voir la menace mortelle qui résidait dans l'idéologie nazie.

Aujourd'hui, soixante-dix ans plus tard, l'histoire nous appelle encore à la sagesse et à la vigilance. Nous ne devons pas oublier que les idées de suprématie raciale et d'exclusivisme ont provoqué la guerre la plus sanglante de l'Histoire. Cette guerre a affecté près de 80% de la population mondiale. Beaucoup de pays européens ont été réduits en esclavage et occupés.

L'Union soviétique a subi les attaques les plus cruelles de l'ennemi. Les forces d'élite nazies ont été lancées sur elle. Toute leur puissance militaire a été concentrée contre elle. Et toutes les grandes batailles décisives de la Seconde Guerre mondiale, en termes de troupes, de puissance militaire et d'équipements impliqués, ont eu lieu en URSS.

Et sans surprise, c'est l'Armée Rouge qui, en prenant Berlin dans une campagne fulgurante, a porté le coup final à l'Allemagne d'Hitler et a mis fin à la guerre.

Toute notre nation multi-ethnique s'est dressée pour lutter pour la liberté de notre Patrie. Tout le monde a porté le lourd fardeau de la guerre. Et d'un même élan, tout notre peuple a réalisé un exploit immortel pour le Salut de la Patrie. Il a déterminé l'issue de la Seconde Guerre mondiale. Il a libéré les nations européennes des nazis.

Tous les Vétérans de cette guerre, où qu'ils vivent aujourd'hui, devraient savoir qu'ici, en Russie, nous apprécions hautement leur courage, leur force et leur dévouement à la fraternité de la première ligne.

Chers amis,

La Grande Victoire restera toujours une apogée héroïque dans l'histoire de notre pays. Mais nous rendons également hommage à nos alliés dans la coalition anti-hitlérienne.

Nous sommes reconnaissants envers les peuples de la Grande-Bretagne, de la France et des États-Unis d'Amérique pour leur contribution à la victoire. Nous sommes reconnaissants envers les antifascistes de tous les pays qui ont généreusement combattu l'ennemi en tant que partisans et membres de la résistance clandestine, y compris en Allemagne même.

Nous nous souvenons de la rencontre historique sur l'Elbe [entre forces soviétiques et américaines], et de la confiance et de l'unité qui devinrent notre patrimoine commun et un exemple de l'unification des peuples pour la paix et la stabilité.

Ce sont précisément ces valeurs qui sont devenues le fondement de l'ordre mondial d'après-guerre. L'Organisation des Nations Unies a été créée et le système du droit international moderne a émergé. Ces institutions ont concrètement prouvé leur efficacité pour résoudre les différends et les conflits.

Cependant, dans les dernières décennies, les principes de base de la coopération internationale en sont venus à être de plus en plus ignorés. Ce sont les principes qui ont été durement gagnés par l'humanité à la suite des épreuves de la guerre mondiale.

Nous avons vu des tentatives visant à établir un monde unipolaire. Nous voyons le bloc de la force brute prendre de l'ampleur. Tout cela porte atteinte à un développement mondial durable.

La création d'un système de sécurité égal pour tous les États devrait devenir notre tâche commune. Un tel système constituerait une réponse adéquate aux menaces modernes, et il devrait reposer sur une base régionale et mondiale sans blocs opposés. C'est la seule voie qui puisse nous permettre d'être en mesure d'assurer la paix et la tranquillité sur la planète.

Chers amis,

Nous saluons aujourd'hui tous nos invités étrangers et exprimons notre gratitude aux représentants des pays qui se sont battus contre le nazisme et le militarisme japonais.

Outre les militaires de Russie, des unités de parade de dix autres États vont également défiler à travers la Place Rouge. Elles comprennent des soldats de l'Arménie, de l'Azerbaïdjan, de la Biélorussie, du Kazakhstan, du Kirghizistan et du Tadjikistan. Leurs ancêtres ont combattu coude à coude, à la fois en première ligne et à l'arrière.

Il y a également des soldats de la Chine, qui, tout comme l'Union soviétique, a perdu des millions de vies dans cette guerre. La Chine a également été le principal front dans la lutte contre le militarisme en Asie.

Les soldats indiens se sont eux aussi battus courageusement contre les nazis. Les troupes serbes ont également offert une résistance forte et implacable face aux fascistes. Tout au long de la guerre, notre pays a reçu un fort soutien de la Mongolie. Et maintenant, dans une formation de parade unique, sont réunis les petits-fils et arrière-petits-fils de la génération de la guerre. Le Jour de la Victoire est notre fête commune.

La Grande Guerre Patriotique fut en fait la bataille pour l'avenir de l'humanité tout entière. Nos pères et nos grands-pères ont subi des souffrances, des privations et des pertes indescriptibles. Ils ont œuvré jusqu'à l'épuisement, jusqu'aux limites de la capacité humaine. Ils se sont battus jusqu'à la mort. Ils ont montré un exemple d'honneur et de véritable patriotisme.

Nous rendons hommage à tous ceux qui ont combattu jusqu'à la mort pour chaque rue, chaque maison et chaque frontière de notre Patrie. Nous nous inclinons devant ceux qui ont péri dans les combats acharnés près de Moscou et à Stalingrad, à Koursk et sur le Dniepr.

Nous nous inclinons devant ceux qui sont morts de la famine et du froid à Leningrad l'invaincue, à ceux qui ont été torturés à mort dans les camps de concentration, en captivité et sous l'occupation.

Nous nous inclinons avec affection à la mémoire des fils, filles, pères, mères, grands-parents, maris, épouses, frères, sœurs, compagnons d'armes, parents et amis, à la mémoire de tous ceux qui ne sont jamais revenus de la guerre, tous ceux qui ne sont plus parmi nous.

Nous faisons une minute de silence à leur mémoire.

[Minute de silence]

Nos chers anciens combattants,

Vous êtes les principaux protagonistes de la Grande Fête de la Victoire. Votre exploit héroïque a permis d'instaurer une vie digne et paisible pour de nombreuses générations. Elle leur a permis de construire leur existence et d'avancer sans crainte.

Et aujourd'hui, vos enfants, petits-enfants et arrières petits-enfants se montrent à la hauteur des hautes exigences que vous avez établies. Ils œuvrent pour le bien du présent et de l'avenir de leur pays. Ils servent leur patrie avec dévouement. Ils répondent aux défis complexes de notre temps avec honneur. Ils garantissent le succès, la prospérité et la puissance de notre patrie, notre Russie !

Gloire au peuple victorieux !

Bonne fête à tous !

Félicitations pour le Jour de la Victoire !

Hourra !

[Soldats : Hourra ! Hourra ! Hourra !]

[Hymne national de la Fédération de Russie.]

 

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11 mai 2015 02:58
Obama empêche une religieuse irakienne de décrire les persécutions chrétiennes
Obama empêche une religieuse irakienne de décrire les persécutions chrétiennes

Obama empêche une religieuse irakienne de décrire les persécutions chrétiennes. Les « voix critiques qui pourraient réveiller les Églises occidentales » n’obtiennent pas de visa.

Par Leo Hohmann

Un dirigeant conservateur demande pourquoi le Département d’État du Président Obama empêche l’entrée aux États-Unis d’une religieuse persécutée en Irak, afin qu’elle partage son message concernant le traitement brutal destinés aux Chrétiens dans son pays.

Nina Shea, du Centre des Libertés Religieuses de l’Institut Hudson, écrit dans un éditorial dans « National Review » que la sœur Diana Momeka est « une représentante internationalement respectée des Chrétiens de Ninive qui ont été tués et expulsés par l’État Islamique d’Irak et du Levant (ISIS) ».

Pourtant, cette religieuse a été « empêchée de venir à Washington pour témoigner au sujet de cette catastrophe. »

Sœur Diana était la seule Chrétienne dans la délégation et le seul membre empêchée pour le voyage, a rapporté le « Washington Times », ce qui a amené certains de ses partisans américains à demander pourquoi elle était la seule à être bloquée.

Nina Shea, dans son éditorial intitulé, « Avec malice envers une religieuse », a exposé la vraie raison pour laquelle le Président Obama a refusé le visa pour la sœur Diana Momeka.

« Sœur Diana Momeka, des sœurs dominicaines de Sainte Catherine de Sienne, a été informée mardi par le consulat américain à Erbil que sa demande de visa pour non-immigrant a été rejeté. »

« La raison évoquée dans la lettre de refus, dont j’ai obtenu une copie, est la suivante : Vous n’avez pas été en mesure de démontrer que vos activités prévues aux États-Unis serait conformes avec la classification du visa. »

De plus, Nina Shea explique :

« Elle m’a dit, par téléphone que l’agent consulaire Christopher Patch lui avait dit en pleine face qu’elle avait été refusée, parce qu’elle mentait. Elle a dit que ceci lui a fait vraiment mal. En gros, le Département d’État lui a dit qu’elle était un traître. »

Nina Shea affirme que les responsables du Département d’État avaient déterminé que la religieuse catholique « pourrait avoir faussement affirmé qu’elle avait l’intention de visiter Washington ceci dans le but secret d’y rester. Ceci constituerait une immigration illégale et, bien sûr, ceci est strictement interdit. Une fois ici, il y aurait le risque qu’elle demande l’asile politique, et les États-Unis semblent déterminés à refuser ce statut aux Chrétiens victimes de l’État Islamique d’Irak et du Levant. »

Nina Shea a ensuite exposé les motifs de la visite de sœur Diana, et les endossements qu’elle a reçu de deux hommes politiques, un républicain et un démocrate, entre autres :

« En réalité, sœur Diana voulait nous visiter pendant une semaine à la mi-mai. Elle devait avoir des rencontres avec les Comités des relations étrangères du Sénat et de la Chambre, le Département d’État, USAID et diverses organisations non-gouvernementales.

Pour appuyer sa demande, sœur Diana possédait plusieurs documents, qui se portaient garant en sa faveur et qui appuyait le caractère temporaire de sa visite. Elle a présenté une lettre de sa Prieure, sœur Maria Hana. La lettre atteste que la religieuse a été salariée depuis février dernier au Collège Babel de Philosophie et de Théologie à Erbil, dans le Kurdistan, et qu’elle possède un contrat pour y enseigner pendant l’année académique 2015-16. »

Sœur Diana a également soumis une invitation de ses sponsors, deux grands penseurs du secteur de Washington, l’Institut pour l’Engagement International et l’Initiative Wilberforce du 21ième Siècle et de l’ancien Membre du Congrès Frank Wolf (R., Va.).

Rien de tout cela n’était assez bon pour le Département d’État du Président Obama.

Pourtant, comme le souligne Matthew Balan dans un article de « News Busters », alors même que l’administration refuse un visa à une religieuse chrétienne persécutée, l’administration a créé un « envoyé spécial pour les droits des personnes Lesbiennes, Gays, Bisexuelles et Transgènes ».

« On peut se demander si les réseaux des principaux médias d’informations s’empareront de l’histoire de sœur Diana» s’amuse Matthew Balan. Un peu plus d’un mois auparavant, sur 60 Minutes, Lara Logan de CBS a attiré d’une manière rafraîchissante une nouvelle attention sur la campagne génocidaire d’ISIS contre les anciennes communautés chrétiennes en Irak. Mais, depuis lors, il y a eu une très maigre couverture des persécutions du groupe extrémiste islamique contre les minorités religieuses.

Sœur Diana, avec 50000 autres personnes de la ville, pour la plupart des résidents Chrétiens, ont été forcés de quitter leurs maisons sous menace d’ISIS, dans la deuxième semaine d’août et ont fui pour sauver leurs vies dans des secteurs contrôlés par les Kurdes.

« Depuis lors, une trentaine de femmes religieuses ont servi de porte-paroles pour cette communauté, ainsi que pour plus de 100000 autres Chrétiens forcés de s’expatrier dans le Kurdistan sous la pression d’ISIS : Convertissez-vous où mourez » écrit Nina Shea.

M. Wolf, qui l’a rencontrée au Kurdistan, il y a quelques mois, a expliqué :

« Nous avions espéré faciliter son voyage aux États-Unis afin qu’elle puisse parler aux décideurs politiques avec beaucoup de candeur, comme à son habitude. Peut-être tout aussi important, nous la considérions comme une voix critique pour réveiller les Église occidentales aux souffrances des Chrétiens et des autres minorités religieuses en Irak. »

Source : http://www.wnd.com/2015/05/obama-blocks-iraqi-nun-from-describing-christian-persecution/

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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10 mai 2015 02:12

Les peuples autochtones de deux États américains – l’Alaska et Hawaï – ont demandé à l’Onu de se pencher sur l’annexion illégale de leur territoire aux USA et de les aider à profiter de leur droit à l’autodétermination.

Les habitants de ces États espèrent que leur requête sera examinée à la réunion du Conseil des droits de l’homme (CDH) le 11 mai, qui sera consacrée aux droits et libertés aux USA.

La requête, formulée jeudi en marge de la session de l’Onu à Genève, indique que les territoires de l’Alaska et d’Hawaï ont été « absorbés par les USA en trompant et en bafouant les principes de l’Onu ».

Les représentants des deux États appellent à « corriger cette erreur » et y organiser des référendums sur l’autodétermination. »Les USA ont pris notre terre, ils y exploitent des hydrocarbures en grande quantité en polluant l’environnement », déclare l’activiste alaskien Ronald Barnes, membre du groupe de travail commun des deux États.

Malgré la vente de l’Alaska par la Russie en 1867, il note que cela ne signifiait pas « automatiquement la souveraineté des USA ». »La base de Pearl Harbor se trouve à Hawaï, qui pollue l’eau, la terre, et provoque des maladies au sein de la population.

Nous ne voulons pas faire partie d’une machine de guerre. Notre culture est opprimée », déclare à l’agence TASS le représentant d’Hawaï Leon Siu.Rappelons que l’an dernier, une pétition sur le retour de l’Alaska au sein de la Russie avait été publiée sur le site de la Maison blanche, qui a recueilli plusieurs dizaines de milliers de voix.

Toutefois, cet instrument d’expression de la volonté populaire n’engage pas la Maison blanche à agir, à l’exception de la nécessité de donner une réponse, quelle qu’elle soit.

Par exemple, en 2012, le site de l’administration avait publié une pétition sur la sortie du Texas des USA, qui a été signée par plus de 125 000 personnes. Les autorités avaient déclaré que le message des pères fondateurs ne prévoyait pas le droit de sortir des USA, bien que cette question reste ouverte pour les historiens.

http://fr.sputniknews.com/presse/20150508/1016000652.html#ixzz3ZcJARI9p

***

Faut-il déja que l'Alaska soit véritablement américain. Car jusqu'à preuve du contraire, cette contrée qu'il fait froid est russe. Lire>>>> Officiellement, l'Alaska est russe

En y pensant, 79% des québécois souhaiteraient devenir français ! Une solution ?...

​SOURCE

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9 mai 2015 02:14
Algérie : une Française égorgée

A Béjaïa (ex Bougie) en Algérie, une française, la femme de Boualem Tiab l’ex-président du club de football JSM Béjaïa, a été égorgée par des inconnus, rapporte El Watan.

D’origine française, mère de quatre enfants, Arlette Tiab, septuagénaire, était présidente d’une association caritative d’aide aux enfants abandonnés.

Le corps d’Arlette a été découvert vers midi baignant dans une mare de sang, alors que son mari rentrait pour déjeuner au domicile familial, dans le quartier Bouaouina situé dans l’ancienne ville.

S’agit-il d’un crime crapuleux ? Rien n’a été volé dans sa maison.

Selon une autre source citée par TSA, la femme de ménage serait considérée comme la principale suspecte. Interpellée elle aurait reconnu les faits.

Les autorités judiciaires se posent cependant des questions sur les mobiles du crime.

Il est cependant étrange qu’à 17 heures (soit cinq heures après la découverte du meurtre) la sureté de wilaya n’ait pas encore été informée, alors que la protection civile s’était rendue sur place peu après 13 heures pour évacuer le corps de la malheureuse.

Une marche de soutien, de solidarité et de protestation devrait se dérouler prochainement à Bejaïa.

L’inquiétude gagne toute la population algérienne, devant la recrudescence de la délinquance et des actes de barbarie bien que la police est présente partout.

En l’espace de 48 heures toute une série d’évènements dramatiques a frappé la population de Bejaïa :

  • Une femme de 30 ans a décapité sa belle-mère à l’aide d’une hache et après avoir enveloppé son cadavre dans un sac poubelle, l’a jété dans un fût.
  • Une jeune fille de 15 ans a été retrouvée noyée au fond d’un puits.
  • Le cadavre d’un SDF a été découvert mort depuis plusieurs jours.
  • Une femme de 35 ans a mis fin à ses jours en se jetant du haut de la place du 1er novembre (ex place Gueydon)

Honorée et appréciée par toute la communauté de Bejaïa, Arlette se dévouait à aider des enfants qui vont se sentir un peu plus abandonnés à présent.

Il serait souhaitable que nos gouvernants, et en particulier le ministre des Affaires Etrangères, Laurent Fabius, ainsi que les médias si prompts à s’exprimer sur le sort de compatriotes considérés comme délinquants et condamnés, au Mexique ou en Indonésie, s’intéressent à l’enquête pour déterminer les causes de cet odieux assassinat contre l’une de nos ressortissante, qui faisait le bien.

Des condoléances, une phrase, un mot, seraient appréciés !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

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8 mai 2015 02:48
islamisme radical : un homme au profil inquiétant interpellé à Marseille « C’est le genre d’individu dormant, l’exemple même du terrorisme individuel fondu dans la masse »

Un homme qui retire de l’argent à un distributeur automatique, à 4 heures du matin, une capuche sur la tête et des lunettes de soleil sur le nez. Il n’en fallait pas davantage pour exciter le flair des fonctionnaires de la Bac qui ont procédé au contrôle de cet homme de 30 ans, avenue Mendès-France (8e arr. de Marseille).

Samy A. était dans le viseur des enquêteurs pour des faits de vols et usage de cartes bleues. Mais en l’espace d’une perquisition, c’est un autre radar qui s’est braqué sur lui : celui du Renseignement intérieur, qui avait déjà une « fiche S », pour sûreté de l’État, à son nom. Car les individus jugés susceptibles de préparer des actes nuisibles pour la sécurité du pays ont leur fiche.

À son domicile situé dans le quartier de Bonneveine (8e), les policiers marseillais ont saisi une trentaine de cartes bleues volées et une vingtaine de téléphones portables sans doute achetés avec ces dernières.

« Ce qui permet d’avoir des portables intraçables et qui, en cas d’acte terroriste, nous empêche de remonter un éventuel réseau », détaillait hier une source judiciaire. Mais aussi des ordinateurs qui sont étudiés de près. Tout simplement parce que les enquêteurs ont également trouvé des ouvrages aux thèmes inquiétants.

« Des livres du genre manuel du parfait faussaire, mais aussi et surtout du parfait apprentiterroriste », glissait hier un proche de cette affaire délicate.

« Mais aussi des documents relatifs au financement d’un éventuel départ vers la Syrie. Était-ce pour lui et un proche ou était-ce pour une ou plusieurs recrues ? C’est là toute la question « , enchaîne un enquêteur. Selon nos informations, ce sont des contacts avec des recruteurs pour le djihad installés dans le sud-ouest de la France qui lui a coûté dans le passé d’être repéré par le Renseignement intérieur.

Un service qui, aujourd’hui, étudie la possibilité d’enquêter plus en profondeur sur cet homme d’ores et déjà mis en examen jeudi et écroué pour escroquerie. « Il semble avoir un profil de logisticien, voire de financeur », assure une source judiciaire.

« Le genre d’individu dormant »

L’homme aurait d’ailleurs pu amasser de l’argent en proposant à la location des appartements fictifs. Avec les documents administratifs qu’il réclamait aux locataires intéressés, il ouvrait des comptes bancaires et souscrivait alors des crédits. « C’est le genre d’individu dormant, l’exemple même du terrorisme individuel fondu dans la masse », s’inquiétait hier un magistrat.

« Et le problème, c’est qu’on ne peut pas les intercepter, sauf coup de chance, car on ne les connaît pas. C’est comme pour un premier braquage, si on n’attrape pas le gars en flagrant délit, c’est compliqué… »

Selon nos informations, le parquet antiterroriste pourrait reprendre le dossier, afin de déterminer quelles sont les réelles connexions de cet homme, sa potentielle dangerosité et si les butins de ses escroqueries servent une cause islamiste.

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5 mai 2015 16:16

Arabie saoudite : cinq personnes décapitées

Deux Yéménites, un Tchadien, un Erythréen et un Soudanais, condamnés à mort, ont été décapités aujourd'hui à Jeddah, dans l'ouest de l'Arabie saoudite, a annoncé le ministère saoudien de l'Intérieur.

Les Yéménites, Khaled Fetini et Ibrahim Nasser, le Tchadien Hassan Omar, l'Erythréen Salem Idriss et le Soudanais Abdel Wahhab Abdel Maïn, ont été condamnés pour avoir attaqué un commerce, tué un gardien indien, avant de forcer le coffre et de dérober une somme d'argent.

Ces décapitations portent à 78 le nombre d'exécutions en un peu plus de quatre mois en Arabie saoudite, alors qu'il y en avait eu 87 sur l'ensemble de l'année dernière. L'Arabie saoudite est l'un des pays au monde ayant le plus recours à la peine de mort.

Photo : ouest-france

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5 mai 2015 03:22
http://www.wikistrike.com/2015/05/poutine-ratifie-un-accord-dotant-les-brics-d-un-fonds-de-100-milliards-de-dollars.html
http://www.wikistrike.com/2015/05/poutine-ratifie-un-accord-dotant-les-brics-d-un-fonds-de-100-milliards-de-dollars.html

Ce fonds est perçu par Moscou comme une autre solution que les institutions financières internationales dominées par les Etats-Unis.

Le président russe Vladimir Poutine a ratifié samedi l'accord portant sur la création d'un fonds commun de réserves pour les pays émergents des Brics, signé en juillet par le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du sud.

"L'accord sur la création d'un fonds commun de réserves de change des pays des Brics est ratifié", annonce un document du Kremlin, cité par l'agence de presse russe RIA Novosti.

Ce fonds devrait être doté de 100 milliards de dollars (89,2 milliards d'euros), selon les termes de l'accord signé par les cinq pays des Brics à Fortaleza, au Brésil, le 15 juillet 2014.

La Russie compte participer à hauteur de 18 milliards de dollars, à l'instar de l'Inde et du Brésil, loin derrière les 41 milliards promis par la Chine. Le fonds sera complété par l'Afrique du sud qui mettra cinq milliards de dollars sur la table.

Selon la déclaration finale signée par les Brics à Fortaleza, ces 100 milliards de dollars leur permettront d'éviter "les pressions à court terme sur les liquidités" et de "promouvoir une plus grande coopération" entre eux.

Ce fonds est aussi perçu par Moscou comme une autre solution que les institutions financières internationales dominées par les Etats-Unis, avec qui la Russie connaît de vives tensions depuis le début de la crise ukrainienne.

Les Brics, qui représentent 40% de la population et un cinquième du PIB de la planète, ont également signé en juillet un accord pour la création de leur propre banque, posant la première pierre d'une nouvelle architecture financière face à l'hégémonie occidentale.

Cette nouvelle banque, dont le siège sera à Shanghaï et qui est destinée à financer les grands travaux d'infrastructures, sera dotée d'un capital initial de 50 milliards de dollars. (AFP)

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5 mai 2015 02:00

La voie islandaise face à la crise financière

« Ne pas écouter les marchés financiers, mais le peuple », déclara le président d’Islande, Olaf Ragnar Grimsson, à propos des choix de son pays face à la grave crise financière survenue en 2008.

Face à la crise similaire que traversent des Etats membres de l’Union européenne et au vu de la relance rapide de l’économie islandaise, ne faudrait-il pas se demander en toute logique si les solutions dont les peuples d’Europe ont besoin sont-elles aussi similaires à celles qui ont déjà fait leurs preuves en République d’Islande ?

Lors de la dernière crise financière mondiale, l’Islande a pris une place importante – à plusieurs égards. La crise y a sévi encore beaucoup plus qu’ailleurs. En 2008, l’amoncellement de dettes était – au zénith de la crise – beaucoup plus élevé que dans les pays du sud de l’Union européenne.

Alors que les dettes en Grèce s’élevaient à 175% du produit intérieur brut, les dettes de l’île atlantique (notamment celles des banques) étaient 10 fois supérieures au PIB, c’est-à-dire 1000% – donc un véritable scénario de catastrophe. Néanmoins, l’Islande se retrouve – 7 ans plus tard – relativement en bonne santé. Comment cela a-t-il été possible ?

Dans les années de la fin du millénaire, l’Islande se faisait remarquer par des taux de croissance très élevés. La raison n’était pas les fruits de la pêche, mais elle se trouvait ailleurs : les trois grandes banques s’étaient engagés dans un jeu risqué et avaient transformé l’île en une place financière globale.

Elles attiraient, par exemple, des fonds d’épargne étrangers avec des taux d’intérêts surélevés et investissaient cet argent dans des placements financiers risqués dans le monde entier – dans un premier temps avec succès.

Les managers des banques responsables se présentaient alors comme étant « modernes » et « ouverts » et rompirent avec les traditions de leur banque et de leur corps de métier.

Mais, selon le proverbe : « Tant va la cruche à l’eau qu’elle finit par se casser. »

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5 mai 2015 01:25
Poutine, « tout seul »

C’est donc confirmé : aucun chef d’État, aucun chef de gouvernement de l’Amérique du Nord ou de l’Union européenne (à la seule exception de la Grèce) n’honorera de sa présence les grandioses cérémonies qui marqueront, le 9 mai à Moscou, le soixante-dixième anniversaire de la capitulation du IIIe Reich.

C'est donc confirmé : aucun chef d’État, aucun chef de gouvernement de l’Amérique du Nord ou de l’Union européenne (à la seule exception de la Grèce) n’honorera de sa présence les grandioses cérémonies qui marqueront, le 9 mai à Moscou, le soixante-dixième anniversaire de la capitulation du IIIe Reich, et donc de la victoire des puissances et des nations unies, quels que fussent leurs régimes et leur légitimité, contre le nazisme.

La raison en est connue : ce camouflet sanctionne la politique étrangère de Vladimir Poutine, et plus précisément son intervention dans le conflit intérieur à l’Ukraine. L’allié d’avant-hier est traité et puni comme un garnement rebelle par des dirigeants dont la délicatesse à géométrie variable s’accommode pourtant d’ententes, d’alliances, de négociations et de conversations avec des pays et des hommes qui ne sont pas plus recommandables que le président russe.

Lire aussi : Quoi, Poutine ?

Les promoteurs et les responsables de ce boycott ne manquent pas seulement à la courtoisie la plus élémentaire en ne renvoyant pas l’ascenseur à Vladimir Poutine qui, présent en juin dernier aux fêtes commémoratives du débarquement de Normandie, y avait croisé pour la première fois son collègue ukrainien Porochenko. Ils ne manquent pas seulement à l’un des principes les plus fondamentaux de la diplomatie qui, comme le professait le général de Gaulle, fait passer les réalités avant les sentiments et ignore les amitiés pour mieux reconnaître les États.

L’injure qu’ils font à la Russie constitue d’abord un outrage, quasiment négationniste, à l’Histoire. Le présent effacerait-il le passé, comme chez le Big Brother d’Orwell ? La politique doit-elle primer sur la vérité ? M. Obama, M. Hollande, M. Cameron et autres dirigeants occidentaux dont le nom, s’il n’est déjà oublié, ne tardera pas à l’être, font un peu vite bon marché de l’effrayant tribut de vingt millions de morts que la Russie de Staline a payé à une cause qui fut commune le temps d’une guerre mondiale.

Ces gens, au demeurant, ne voient que le court terme. « Poutine seul sur sa place Rouge », titrait hier Le Journal du dimanche.

Seul, vraiment ? Au moins les Anglais mettaient-ils de l’humour dans la boutade bien connue et même éculée : « Brouillard sur la Manche : le continent isolé. » Outre la présence de onze chefs d’État africains, d’une douzaine de chefs d’État asiatiques, des présidents cubain et vénézuélien, Vladimir Poutine accueillera sous les murs du Kremlin ces personnages : le numéro un chinois et le numéro un indien

. C’est dire que plus de la moitié de la planète, au plus haut niveau, sera représentée samedi prochain à Moscou. Il serait peut-être temps de voir le monde non tel qu’il fut ou qu’on rêverait qu’il demeure, mais tel qu’il est.

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4 mai 2015 18:53
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3 mai 2015 02:37

Ce guide affiche en exergue une citation de Zarqaoui; or, Zarqaoui est le fondateur du groupe qui deviendra l'État islamique.

 

Poste de veille a traduit des extraits de ce guide, publié en mars 2015, afin d'informer les lecteurs des stratégies et tactiques suggérées aux aspirants terroristes.

 

(How to survive in the West) - «Ce livre vous apprend à être un agent dormant qui fait les choses de façon indépendante. Vous ne dépendez d’aucun groupe d’individus. Votre seul lien avec l'État islamique est idéologique. Vous amassez de l'argent, collectez des armes et recourez à l'anonymat pour soutenir toute forme de jihad qui pourrait survenir à l’avenir, ou pour votre propre jihad à une ou deux personnes.»

«Ce livre est un guide pour les musulmans vivant dans un pays à majorité non-musulmane, ou dans un pays où les dirigeants sont durs envers les musulmans. [...] Vous y apprendrez comment être un agent dormant qui mène une double vie, car les musulmans auront besoin de ces connaissances pour survivre dans les années à venir.»

«La priorité la plus importante pour vous comme musulman vivant dans un pays à majorité non-musulmane est de cacher votre identité islamique de manière à ne pas soudainement avoir l’air ‘différent’ ou ‘radicalisé’.»

 

L'effet du Califat

«Maintenant que l'État islamique a été établi dans le monde musulman, les croyants peuvent célébrer parce que nous vivons dans un temps unique dans l'histoire. Les musulmans peuvent désormais commettre un attentat terroriste, puis fuir leur pays en secret et trouver des lieux où se réfugier dans le monde.»

«Une fois que la personne est en sécurité dans l'État islamique, elle pourrait sonner le détonateur de téléphone cellulaire et la voiture pourraient exploser [quelque part en Occident]. Mais ils ne peuvent pas vous rattraper maintenant.

Une fois que vous êtes dans l'État islamique, vous pouvez aider d'autres personnes à y parvenir. Votre travail ne finira pas tant que vous n'aurez pas atteint le martyre.»

 

«C’est ainsi que débutera le futur jihad en Europe»

Les musulmans feront des contre-manifestations aux côtés de groupes anti-fascistes. Quand la violence éclatera entre les néo-nazis et les musulmans; les musulmans et leurs alliés porteront des masques et des bandanas, et passeront à l’attaque en utilisant les habiletés et les armes qu’ils auront accumulées.

Les foules énormes dans les manifestations et l'instabilité feront en sorte qu’il sera difficile pour la police d’identifier les auteurs des attaques, et les assaillants musulmans pourront se fondre dans la foule pour leur sécurité. Ils pourront même fournir des armes à leurs alliés. C’est ainsi que débutera le futur jihad en Europe.

Les deux parties exécuteront des attaques en représailles. C’est à ce moment que votre expertise en matière de bombes sera importante, car vous pourrez faire sauter des bombes dans leurs Quartiers généraux, et ils en feront sauter dans ceux des musulmans.

Ceci antagonisera de nombreux musulmans, de sorte qu'ils s’allieront avec vous parce qu’ils seront en quête de protection et de vengeance. Vous pourrez désormais les former en privé, et partager les armes que vous aviez stockées en lieu sûr.

Votre argent pourra être utilisé pour attirer dans votre camp des jeunes musulmans plus qualifiés. Protégez votre quartier, et vous obtiendrez plus d’argent de vos coreligionnaires qui seront heureux de bénéficier de votre protection. […]

Vous utiliserez des hommes, des armes et des camions pour prendre le contrôle des rues et des lieux plus stratégiques dans vos quartiers. La police prendra le parti des néo-nazis, de sorte que vous détruirez le poste de police et vous emparerez des armes qui s’y trouvent.

Si ces manifestations et batailles violentes se produisent au niveau national, il y aura trop peu de policiers pour contrôler la population dans chaque ville, et une guerre éclatera entre les musulmans et leurs ennemis néo-nazis.

Les gens non alignés seront pris entre deux feux et devront choisir un camp. Il se pourrait que plusieurs cellules musulmanes dormantes s’activent pendant cette période ; vous collaborerez avec ces cellules et formerez des alliances avec des non-musulmans sympathiques à votre cause pour combattre les gangs qui sont vos ennemis communs.»

Le rôle des Blancs convertis

«Il y a des milliers de Blancs convertis à l'islam en Europe qui veulent avoir des amis musulmans, mais ils trouvent difficile d’apprendre à leur famille et à leurs amis qu’ils se sont convertis. Ils sont assis entre deux chaises. [...]

Si vous pouvez vous lier d'amitié avec eux et leur enseigner l’islam, ils seront très heureux, ils sont davantage voués à Allah en Europe que les minorités ethniques musulmanes vivant dans Europe. Le Blanc converti réalisera l’avantage d’être européen. Il peut utiliser cet avantage pour faire le jihad par infiltration. Il peut espionner les dirigeants non-musulmans qui sont une menace pour les musulmans, et se faire passer pour un fervent partisan alors que sa loyauté est envers l'islam et les musulmans. Il pourrait être un garde du corps de dirigeants, et ensuite les assassiner, ou révéler leurs coordonnées et leur horaire.

Donc, devenez amis avec des Blancs honorables qui sont insatisfaits de leur gouvernement, rapprochez-vous d’eux et offrez-leur du soutien et des conseils pour orienter leur vie. Parlez-leur de leur vie de famille, et de votre propre vie de famille.

Rappelez-vous qu'un agent dormant essaie d’adopter une couverture qui ressemble à sa vie réelle ; il cache seulement les détails sensibles. Cette technique de proximité avec votre vie réelle vise à prévenir des contradictions dans le futur qui pourraient vous exposer, puisque votre couverture n’est pas trop éloignée de la vérité.»

 

La conquête de Rome

«La prochaine guerre pour la conquête de Rome consistera principalement en guérilla urbaine dans les villes et les rues d’Europe.  Alors demandez-vous, quel type de formation avez-vous besoin? Dans les guérillas urbaines, les gens ont besoin de courir à l'extérieur et à l'intérieur des bâtiments. Donc, monter et descendre les escaliers est un très bon exercice. Apprendre à escalader les murs et à les descendre est également important.»

Image tirée du Guide: Assaillir l'Europe «de tous les côtés»

 

«Les techniques d’auto-défense : pour apprendre à vous battre et à vous défendre, la meilleure technique est le Krav Maga. Cette technique vous apprendra à vous défendre et à contre-attaquer rapidement, et aussi à désarmer l’ennemi muni d’un couteau ou d’un pistolet.    

Outre les arts martiaux, il faut aussi apprendre à manier des couteaux et des bâtons au combat. […]

Apprendre le tir à la cible : Vous devriez acheter des fusils jouets (pistolets Nerf), ou des fusils au plomb ou des pistolets de paintball pour la pratique du tir sur des cibles. [...] Achetez-les dans des magasins locaux ou des magasins à rayons seulement s’ils ne vous demandent pas votre nom. N’allez jamais à un évènement Paintball, car ils écrivent le nom de tous musulmans qui participent à ces évènements. 

Pratiquez dans votre jardin ou dans le sous-sol de votre maison. Évitez les endroits publics car il y a des caméras partout. […]

Jouer à des jeux tels que Call of Duty permet d’apprendre les techniques de guerre sur différents terrains. Des vidéos de «Mout» sur Youtube fournissent également des exemples de mouvements dans les zones urbaines. Certaines techniques de guerre urbaine peuvent même être pratiquées à la maison.»

 

«Les agents dormants doivent être des maîtres du camouflage.»

«Le changement d'identité est tellement important que tout ce qui vous concerne doit être différent de la réalité : votre pseudonyme, votre apparence physique, votre voix, vos lieux de rencontre, et même votre numéro de téléphone.»

«Si vous utilisez Internet, votre plus grand objectif sera de préserver la confidentialité. Il ne faut pas qu’une agence de renseignement ait ne serait-ce qu’un soupçon que vous soyez un terroriste.»

«Il y a 2 types de confidentialité à rechercher :

1 – Une adresse IP «propre» à domicile : Lorsque vous naviguez sur Internet, votre activité Internet doit paraître aussi normale que possible. Ne tapez rien de jihadiste, voire d’islamique, dans vos recherches, surtout pas avec votre ordinateur. […]

2 – Les recherches sur le jihad sur TOR : Le moyen le plus sûr d’obtenir une vue d'ensemble sur le jihad est d’écouter les chaînes de nouvelles (telles que Al-Jazira). Elles ne donnent pas un portrait clair de la situation, mais vous aurez au moins un aperçu de ce que se passe.

C’est sans danger, car ces chaînes sont diffusées gratuitement par Satellite, et personne ne peut faire une recherche sur votre historique. Une fois vous fermez le téléviseur, personne ne peut savoir ce que vous avez écouté, et vous ne courez aucun danger.

Si toutefois, vous voulez maintenir une connexion avec le jihad en ligne, votre première priorité sera de ne JAMAIS utiliser votre navigateur habituel pour ce genre de recherches. Téléchargez plutôt le fichier de configuration du navigateur TOR à l'extérieur, mettez-le sur une clé USB et installez-le quand vous serez rentré chez vous.

Une fois ce navigateur installé, les meilleurs endroits pour trouver le plus d'information sur le jihad, en faisant le moins de recherches possibles, sont les médias sociaux (en particulier: Twitter.com/search).

Évitez de créer un compte sur les médias sociaux, et essayez de naviguer avec le maximum d’anonymat.

Le navigateur TOR est exactement comme le navigateur normal que vous utilisez maintenant pour l’Internet. La seule différence : chaque fois que vous ouvrez le navigateur, une adresse IP différente est indiquée aux propriétaires de sites Web (c.-à Twitter), de sorte que si les services de police ou de renseignement leur demandent les adresses IP ayant visité leurs sites, les propriétaires de sites Web (que vous aurez parcourus en utilisant TOR) leur donneront une adresse IP proxy différente, et non pas votre vraie adresse IP.

Voilà pourquoi il est important de garder votre véritable adresse IP «propre», sans traces de recherches sur le jihad.

Même si vous utilisez TOR, ne donnez jamais votre vrai nom et votre vrai email ; ouvrez plutôt de faux comptes, sinon vous dévoilerez votre identité.»

 

Rejoindre l'État islamique

«L’agent dormant musulman qui quitte son pays doit chercher à s’attirer le moins d’ennuis possibles. Par exemple: il voyagera avec son passeport original plutôt qu’avec un faux passeport pour éviter des problèmes si on découvre que son passeport a été forgé.

Bien sûr, il aura pris garde à ne pas compromettre sa véritable identité dans ses activités passées, en utilisant l’anonymat, un alias et des méthodes anonymes dans la vraie vie. Il quittera également son pays à partir d’un aéroport plus petit et plus tranquille qui a moins de contrôles de sécurité et moins de responsables de la sécurité.

Si le passeport d’un individu a été confisqué par les autorités, il pourra tenter de fuir le pays clandestinement par d'autres moyens. Il pourrait quitter le pays en autobus vers un pays voisin et ensuite trouver un moyen de s’échapper ou de se faire passer clandestinement vers un territoire plus sûr.»

«Donc, si un musulman a du mal à fuir vers l'Etat islamique en Irak et en Syrie via la Turquie, il peut s’enfuir vers l'État islamique en Libye, ou au Khorasan (Waziristan au Pakistan), ou au Nigeria (dans le territoire du Boko Haram).

Oui, il est difficile d’atteindre ces terres, mais il est aussi difficile pour l'ennemi d'avoir suffisamment confiance pour vous rechercher là-bas. Si un musulman qui se trouve dans ces terres est capturé par des non musulmans, il peut dire qu'il est un journaliste indépendant ; s’il est capturé par des musulmans, il peut démontrer qu’il est un musulman cherchant à rejoindre les moudjahidines.»

 

Lire aussi:

La propagande de guerre de l'État islamique sur Twitter

L'Etat islamique veut «faire sauter la Maison Blanche, Big Ben et la Tour Eiffel»

«Si tu peux tuer un mécréant canadien, alors tue-le par n’importe quel moyen»

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2 mai 2015 02:49
Mistral : Poutine demande à la France de rembourser

I WANT MY MONEY BACK - Alors que la livraison des navires de guerre Mistral a été suspendue par Paris, le président russe souhaite être remboursé.

La saga des Mistral n'est pas encore terminée. Jeudi, Vladimir Poutine a demandé à la France de rembourser la Russie, alors que Paris a suspendu la livraison des navires de guerre jusqu'à "nouvel ordre". "Je pars du principe que les autorités françaises, les Français étant des gens corrects, nous rendront l'argent.

Nous n'avons pas l'intention d'exiger des pénalités excessives, mais il faut que les pertes que nous avons subies soient remboursées", a estimé le président russe lors de sa séance annuelle de questions réponses avec les Russes à la télévision.

"Sans importance", selon Poutine. Vladimir Poutine a toutefois qualifié le refus français de "sans importance" pour la Russie. "Le refus de livrer les navires conformément au contrat est un mauvais signe bien sûr, mais du point de vue du soutien de nos capacités de défense, je vais vous le dire franchement, c'est sans importance", a-t-il déclaré. "A l'époque, nous avions conclu ce contrat avant tout pour soutenir nos partenaires et assurer une charge de travail pour leurs chantiers navals, mais nous prévoyions de les utiliser en Extrême Orient, ce n'est pas critique", a-t-il ajouté.

Un contrat à plus d'un milliard d'euros.La France avait annoncé fin novembre le report "jusqu'à nouvel ordre" de la livraison du premier de ces bâtiments construits à Saint-Nazaire, le Vladivostok. La raison ?

Le rôle de la Russie dans le conflit en Ukraine. Paris a depuis lors répété que les conditions de livraison n'étaient "toujours pas réunies", tandis que Moscou a menacé à plusieurs reprises de lancer des procédures devant des cours d'arbitrage international.

La vente à la Russie de deux Mistral, conclue en juin 2011 sous la présidence de Nicolas Sarkozy, avait été évaluée à environ 1,2 milliard d'euros.

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1 mai 2015 02:53
VLADIMIR POUTINE RÉVÈLE À LA TÉLÉVISION LES LIENS ENTRE LES ÉTATS-UNIS ET LES REBELLES DU CAUCASE

A l’occasion des 15 ans de pouvoir de Vladimir Poutine, la chaîne de télévision publique Rossia 1 diffusait un documentaire intitulé « Président ». Le président russe y parlait librement d’un certains nombres de sujets et y livrait quelques informations restées confidentielles jusqu’à présent. Il n’a pas non plus hésité à épingler l’attitude de l’occident à l’égard de la Russie.

Ainsi, entre autres choses, Vladimir Poutine a accusé les Etats-Unis d’avoir des contacts directs avec les rebelles du Caucase du Nord et de leur fournir de l’aide notamment logistique, dans un documentaire diffusé dimanche par la télévision russe.

Au début des années 2000, « les services spéciaux russes ont détecté des contacts directs » entre des rebelles du Caucase du Nord et des représentants des services secrets américains en Azerbaïdjan », ex-république soviétique du Caucase du Sud, a-t-il expliqué.

Les étasuniens « aidaient même avec du transport, tout simplement », a précisé le président russe, dont les propos ont été publiés sur le site officiel de la chaîne.

Il a affirmé en avoir informé le président étasunien de l’époque, qui a répondu « Je vais leur botter les fesses ».

« Mais dix jours après, mes subordonnés, les dirigeants du FSB (service de sécurité russe, ex-KGB) ont reçu une lettre de leurs collègues de Washington qui disaient : Nous avons eu et nous allons poursuivre les relations avec toutes les forces de l’opposition en Russie. Nous estimons que nous avons le droit de le faire et nous le ferons », a indiqué M. Poutine.

Après la première guerre de Tchétchénie (1994-1996), qui a affronté la Russie pour son indépendance, la rébellion s’est progressivement islamisée et a débordé les frontières de cette petite république caucasienne pour se transformer au milieu des années 2000 en un mouvement islamiste armé actif dans tout le Caucase du Nord.

« Il y a des gens, surtout dans les services secrets des pays occidentaux, qui croyaient que si on déstabilisait leur principal rival géopolitique — et maintenant nous comprenons que pour eux, c’était la Russie — cela serait à leur profit », a indiqué M. Poutine.

« Mais il s’est avéré que ce n’était pas le cas », a-t-il estimé.

« Dans aucun cas, jamais et nulle part, il ne faut même pas essayer d’utiliser les terroristes pour résoudre ses tâches politiques et même géopolitiques transitoires », a-t-il souligné.

P. D. Iouristoff

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29 avril 2015 19:44
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29 avril 2015 00:01
Ce que révèlent les dossiers secrets de l’Etat Islamique

Le groupe terroriste a lancé d’ambitieuses opérations d’espionnage avant son offensive de juin 2014 afin d’instaurer son califat en Syrie et en Irak, révèle une enquête du Spiegel.

En janvier 2014, Haji Bakr, ex-colonel des services secrets de l’armée de l’air irakienne sous Saddam Hussein, est tué dans une offensive de l’Armée syrienne libre (ASL) à Tal Rifaat, à une trentaine de kilomètres au nord d’Alep. De son vrai nom, Samir Abd Muhammad al-Khlifawi, Haji Bakr, était l’un des cerveaux de l’Etat islamique. Peu de temps après sa mort, des documents confidentiels qu’il avait lui-même rédigé ont été retrouvés dans un des QG du groupe Etat islamique.

C’est en grande partie en s’appuyant sur l’analyse de ces documents secrets que l’hebdomadaire allemand Der Spiegel révèle les coulisses de l’avancée de l’Etat islamique en Syrie. “Ce n’était pas un manifeste religieux mais un plan très détaillé (…) pour un califat mené par une organisation ressemblant alors à la Stasi, la célèbre agence de renseignement de l’Allemagne de l’Est”, écrit Christoph Reuter, l’auteur de l’article.

Intitulée “Des dossiers secrets révèlent la structure de l’Etat islamique”, l’enquête offre un éclairage sans précédent sur la manière dont le groupe s’est structuré militairement et stratégiquement pour atteindre son objectif : l’instauration, en juin 2014, d’un califat dans le nord de la Syrie.

Alors que jusqu’à présent la plupart des informations dans le domaine émanait des témoignages d’anciens combattants aux côtés de l’organisation terroriste, “pour la première fois, les documents de Haji Bakr montre précisément la manière dont était hiérarchiquement structurée l’organisation et quel rôle y ont joué d’anciens cadres du gouvernement de l’ex-dictateur Saddam Hussein”, écrit l’auteur.

Haji Bakr, décrit comme “le plus important stratège” de l’organisation Etat islamique, s’était retrouvé “aigri et sans emploi” après la dissolution, en 2003, par les Etats-Unis, de l’armée irakienne. C’est peu de temps après qu’il rencontre l’ancien dirigeant d’Al-Qaida, Abou Moussab Al Zarkaoui (tué en juin 2006). A son contact, il conçoit l’idée de mettre sur pied un groupe à la fois très solide stratégiquement et mu par une idéologie religieuse radicale. En 2010, Haji Bak convainc d’anciens officiers du renseignement irakien de l’aider à placer l’islamiste Abou Bakr Al-Baghdadi à la tête de ce qui n’est encore qu’un groupe relativement informel. Informel mais déjà très professionnel.

Surveillance paranoïaque

La partie la plus intéressante de l’article concerne en effet la description du plan mis en place avant l’offensive militaire en Syrie. Haji Bakr a formé des espions chargés d’infiltrer les cercles influents des villes et villages du nord du pays et de surveiller les moindres faits et gestes de potentiels opposants. Se faisant passer pour des prédicateurs, les “agents” de l’EI ont repéré les meneurs des rebellions et procédé à des assassinants ciblés, tout acquérant une extraordinaire connaissance du territoire.

C’est comme si George Orwell avait été l’inspirateur de cette surveillance paranoïaque”, écrit Der Spiegel. Ces opérations d’espionnage méticuleusement préparées ont assuré au groupe le succès de son offensive en Syrie, proclame l’hebdomadaire. Les frappes contre les positions de l’EI [à partir de décembre 2014] menée par la coalition ont certes détruit les raffineries et les puits de pétrole. Mais personne ne peut empêcher les autorités financières du califat de prélever l’argent de millions de personnes qui vivent dans les régions sous son contrôle. Grâce à ses espions, l’EI sait tout (…), il sait qui possède telle terre, telle maison et qui possède de l’argent”.

Cette enquête montre enfin que si en Occident les peurs à l’égard de l’Etat islamique se cristallisent autour des attaques terroristes, il ne faut pas sous-estimer les guerres intra-musulmane entre chiites et sunnites que se jouent dans la région. “Ces conflits peuvent permettre à l’EI de passer d’une organisation de terreur à un pouvoir central”, conclut l’hebdomadaire.

Par JSSNews

​SOURCE

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27 avril 2015 02:51
L’UE n’a pas d’argent pour la Grèce, mais a 11 milliards d’Euros pour un pays non membre, l’Ukraine

Alors que l’UE est inflexible vis-à-vis d’un état membre, la Grèce, les contribuables européens sont contraints de soutenir le gouvernement illégal de Kiev avec des prêts de plusieurs milliards d’euros.

Alors que la Grèce demande un accord avec l’Europe et que l’Union européenne, la bave aux lèvres, impose encore plus d’austérité paralysante à un autre de ses membres… Bruxelles n’a aucun problème pour distribuer des milliards pour un état non membre, l’Ukraine.

Le plus drôle, c’est que la Grèce, l’Espagne, le Portugal et d’autres pays touchés par l’économie de la Troïka de l’UE devront débourser pour les néo-nazis ukrainiens.

Imaginez si les milliards généreusement octroyés par une UE corrompue à une Ukraine encore plus corrompue, étaient plutôt utilisés pour stimuler la croissance dans une Europe appauvrie.

Via Russia Insider…

Le document rendu public par la Commission européenne intitulé: « Paquet de soutien pour l’Ukraine » est un document des plus intéressants et troublant à la fois. Il détaille les propositions visant à fournir une somme de 11 milliards d’euros à l’Ukraine dans les prochaines années. Oui, vous avez bien lu-11 milliards. Alors maintenant, nous savons pourquoi il n’y a plus d’argent pour la Grèce… je me posais la question à ce sujet.

Voici les détails :

  • € 3 milliards du budget de l’UE dans les années à venir, € 1,6 milliards en prêts d’aide macro financière (MFA) et un programme d’aide de subventions de € 1,4 milliards ;
  • Jusqu’à € 8 milliards provenant de la Banque européenne d’investissement et la Banque européenne pour la Reconstruction et le développement ;
  • € 3,5 milliards potentiels à effet levier obtenus par le biais de la Facilité d’Investissement de Voisinage ;
  • Mise en place d’une plate-forme de coordination des donateurs ;
  • Application à titre provisoire de la Zone de Libre-échange Complète et Approfondie à la signature de l’accord d’Association et, si besoin, par le pré-approvisionnement autonome des mesures commerciales ;
  • Organisation d’un Forum/groupe d’investissement de haut niveau ;
  • Modernisation du système de Transit du gaz en Ukraine et travail sur les flux inverses, notamment par le biais de Slovaquie ;
  • Accélération du Plan d’Action de libéralisation des Visas dans le cadre établi ;
  • Offre d’un partenariat pour la mobilité ;
  • Assistance technique sur un certain nombre de domaines, des réformes constitutionnelles aux réformes judiciaires et les préparations d’élections.

L’Ukraine a besoin d’aide humanitaire — ne vous méprenez pas – mais la guerre doit cesser.

Récapitulons sur comment cela a commencé, pour ceux qui ne sont pas si familiers avec la crise ukrainienne. Le Président démocratiquement élu de l’Ukraine, Ianoukovitch, a été évincé en 2014, et un gouvernement « illégitime » a pris le pouvoir par la force, avec l’aide de diverses organisations fascistes. Le nouveau gouvernement aussi contenait des éléments fascistes et a commencé à propager une rhétorique antirusse.

Des dispositions ont été prises pour éradiquer la culture et la langue russe –provoquant naturellement la colère des plus de 8 millions de russophones qui composent la population – mais qui se considéraient également ukrainiens. En particulier, cela a provoqué un soulèvement en Crimée, qui a conduit à sa demande de rejoindre la Fédération de Russie.

Donc ce que nous avons maintenant, c’est une guerre menée par le gouvernement ukrainien contre son propre peuple, financée par l’UE. Et c’est la guerre et le gouvernement corrompu que nous soutenons en tant que membres de l’UE – bien que l’Ukraine elle-même ne soit pas membre de l’Union européenne. Je ne souscris pas à cela.

Références:

http://russia-insider.com/en/no-facts-eu-just-opinion/5923

Traduction Avic – Réseau International

Source : http://redpilltimes.com/eu-has-no-money-for-greece-but-does-have-11-billion-euros-for-non-member-state-ukraine-victoria-nuland-was-right-fk-the-eu/

SOURCE

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27 avril 2015 01:35
La France dégringole et n'est plus que la dixième puissance économique mondiale, dépassée par l’Indonésie !

L’effondrement économique de la France s’accélère. Tandis que les médiats d’état continuent de marteler le slogan “La France 5ème puissance mondiale”, la réalité est elle très différente. En 2015, l’Hexagone sera la dixième puissance économique réelle, derrière le Royaume-Uni et l’Indonésie.

En 2013, le Produit Intérieur Brut en Parité par Pouvoir d’Achat de la France était encore le 8ème mondial, déjà talonné par l’Indonésie, à 2 535 milliards de dollars contre 2 511. En 2015, l’Indonésie affichera une production globale de 2 840 milliards de dollars, contre 2 634 pour la France. Un différentiel de plus de 200 milliards d’euros en seulement deux ans.

Cette nouvelle réalité intervient alors que François Hollande a menacé de “représailles diplomatiques” l’Indonésie si elle exécutait un Français condamné à mort dans le cadre d’une affaire de trafic de drogue. Un ton d’une arrogance typiquement française qui fait fi d’un contexte nouveau : l’Indonésie est un pilier dans les relations entre puissances de l’Asie-Pacifique. Au jeu des représailles, Paris n’a plus les moyens de ses ambitions.

(source) Traduction

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27 avril 2015 01:23

 

Au Forum russe mondial, le journaliste spécialiste des affaires étrangères, Patrick Smith, parle de l’état des médias, de la démocratie et de de l’empire aux Etats-Unis

Patrick L. Smith est chroniqueur pour les affaires étrangères à Salon et il est l’auteur de “Time No Longer: Americans After the American Century” (2013). Il a été responsable de l’agence de l’International Herald Tribune à Hong Kong, puis à Tokyo, de 1985 à 1992, et il contribue au New Yorker, au New York Times, à Nation, au Washington Quarterly et à d’autres publications.

Voilà les points principaux du passionnant exposé de Smith:

• Les médias américains entretiennent une relation malsaine avec le pouvoir politique depuis 1898 et le début des aventures impérialistes

• On peut avoir une démocratie ou on peut avoir un empire, mais on ne peut pas avoir les deux en même temps

• On peut avoir une presse en bonne santé ou on peut avoir des ambitions impérialistes, mais on ne peut pas avoir les deux

• La guerre froide a été une très mauvaise période pour les médias américains et ils ne s’en sont jamais remis

• En 2001, les médias ne se sont pas montrés à la hauteur de la situation et ils ont plié devant le pouvoir

• Les médias confondent quantité et qualité

• Contrairement à ce qu’ils prétendent, les médias américains fonctionnent comme une institution d’état

• L’Amérique arrive à la fin de sa phase impérialiste

• L’économie ukrainienne est une tragédie humanitaire

• Ce qu’on appelle les «médias alternatifs» n’est pas réellement une alternative; les médias alternatifs disent la vérité, mais ils ne peuvent pas vraiment percer pour la bonne raison qu’ils n’ont pas les moyens de production et les infrastructures des médias traditionnels.

Traduction : Dominique Muselet

Lien de l’article: http://russia-insider.com/en/patrick-l-smith-american-media-function-state-supervised-institutions/5443

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24 avril 2015 02:26
La menace se précise


Comme les Kouachi, Coulibaly et autres Merah, Sid Ahmed Ghlam, interpellé dimanche alors qu’il préparait un attentat contre des églises de Villejuif, a bénéficié du laxisme français en matière d’immigration. Comme eux, il a un passé de petit délinquant ayant basculé dans le djihadisme. Comme eux encore, il était bien connu de la DGSI.

Mais comme eux, hélas, il aura fallu attendre qu’il passe à l’acte pour que la police l’interpelle. Bref, loin de démontrer l’efficacité du dispositif antiterroriste français, cette nouvelle affaire nous prouve que les leçons des attentats de janvier n’ont pas été tirées et qu’il faut craindre le pire pour l’avenir.

Un « dossier très lourd »

Interpellé fortuitement après avoir appelé le SAMU pour une blessure à la jambe, Ghlam, étudiant algérien arrivé en France en 2001 par le biais du regroupement familial, pourrait bien voir sa garde à vue prolongée jusqu’à six jours. C’est que, indiquait une source judiciaire, « le dossier serait très lourd » et l’« on relève d’inquiétantes similitudes avec le dossier Kouachi-Coulibaly ». Un « dossier très lourd » qui ne l’a pas empêché de préparer ses attentats, d’assassiner Aurélie Châtelain et, s’il n’avait pas lui-même alerté les secours, ne l’aurait pas empêché de fusiller les fidèles de deux églises.

Pourtant bien connu du renseignement, Ghlam faisait l’objet d’une fiche de sûreté, impliquant normalement une « surveillance discrète ». Par deux fois, il avait été entendu par la DGSI. Et par deux fois, il avait été relâché dans la nature. Au printemps 2014, après avoir exprimé sur Facebook sa volonté de partir en Syrie. Puis au début de 2015, après un séjour en Turquie. Et depuis ? Il poursuivait peinard ses activités criminelles, recevant même directement ses ordres de Syrie.

Aussi n’est-on pas surpris d’apprendre que les policiers ont découvert chez lui un véritable arsenal d’armes de guerre, des documents à la gloire de l’EI et des plans « établissant sans ambiguïté » qu’il projetait un attentat « imminent » contre des églises de Villejuif. Comme l’on n’est pas surpris non plus de voir aujourd’hui l’enquête s’orienter vers de probables complicités.
Chez Ghlam en effet, on retrouve tous les ingrédients qui ont conduit aux carnages des Merah, Kouachi et Coulibaly.

Une immigration incontrôlée, qui a offert à ces gens la possibilité d’agir sur notre sol. Un laxisme judiciaire, qui leur a permis de le faire sans être inquiétés. Et une politique communautariste, qui les y a presque encouragés.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, le FN avait donc raison d’indiquer mercredi qu’« il est (…) grand temps de mettre en œuvre un plan global de lutte contre le terrorisme islamiste, qui passe notamment par l’arrêt de l’immigration (…), le rétablissement immédiat de nos frontières nationales, le renvoi systématique des étrangers liés à la mouvance islamiste et par la déchéance de nationalité des binationaux impliqués dans le djihadisme ».

Par FRANCK DELETRAZ

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23 avril 2015 01:48
Union économique eurasiatique : état des lieux

Le 1er janvier 2015 a marqué l’entrée en vigueur de l’Union économique eurasiatique (UEEA), plus ambitieux projet d’intégration en Eurasie.

Les économistes en sont convaincus : l’UEEA, qui unit la Russie, la Biélorussie, le Kazakhstan et l’Arménie, est un excellent instrument pour attirer des investissements étrangers – la mise en commun des potentiels des quatre pays réduit les coûts et simplifie la logistique, et l’ouverture des frontières permet l’afflux d’une main-d’œuvre hautement qualifiée et bon marché.
Les sociétés logistiques fondent de grands espoirs sur l’UEEA : elles seront parmi les premières à pouvoir profiter de ses avantages. Le Courrier de Russie vous livre l’avis des experts.

Mise en commun des potentiels

Le principal objectif de l’Espace économique commun est de bénéficier de l’effet synergique de la mise en commun des potentiels : chaque participant reçoit davantage de la coopération que ce qu’il aurait obtenu en travaillant seul. Selon les calculs de la balance intersectorielle, l’UEEA pourrait avoir pour effet, en dix ans, d’augmenter de 17 à 20 % le PIB de chacun de ses États-membres, soit de 700 milliards de dollars au total.

[…]

Il est encore trop tôt, toutefois, pour prédire l’impact de l’UEEA sur l’économie de chacun de ses membres. « Le taux moyen des droits de douane s’élève à 2,7 % en Arménie et à 6,9 % dans l’Union douanière, rappelle Alex Gene, attaché douanier auprès de l’ambassade de France à Moscou. L’Arménie reverra probablement ses droits à la hausse pour les faire correspondre à ceux de l’Union, ce qui augmentera le coût des importations depuis les pays tiers. » Le Kirghizistan, dont l’adhésion à l’Union est prévue pour 2015, devra enclencher les mêmes processus.éance de l’Union économique eurasiatique (UEEA), mars 2014. Crédits : kremlin.ru

Par ailleurs, les pays de l’ex-URSS ne sont pas les seuls à s’intéresser à ce nouvel espace économique. À l’heure actuelle, plus de 30 États et organisations internationales ont déjà exprimé leur intérêt pour la création d’une zone de libre-échange avec l’Union économique eurasiatique. Le service de presse de la Commission économique eurasiatique a annoncé que des négociations étaient en cours avec l’Égypte, l’Inde et Israël. En outre, la fin de l’année dernière a vu s’achever le dernier cycle des négociations sur l’élaboration d’un accord de libre-échange avec la république socialiste du Vietnam, au cours duquel toutes les questions importantes ont été réglées.

Si Oleg Dounaïev ne se hasarde pas à juger des perspectives d’adhésion en qualité de membre à part entière de l’Union eurasiatique d’un État ne faisant pas partie de la CEI, il est néanmoins convaincu que la réalité objective conduira à mettre au point de nouveaux formats de coopération : « Il pourrait s’agir de statuts de membre associé, d’observateur ou de partenaire privilégié. » En outre, compte tenu des positions économiques stables des entrepreneurs turcs sur les marchés des pays de l’UEEA, l’expert pense que la Turquie est prête à développer activement ses relations avec la nouvelle entité économique internationale.
L’élargissement de l’Union profitera à tous, étant donné qu’il simplifiera les échanges commerciaux et le transport transfrontalier des marchandises et facilitera l’accès aux marchés. Plus la coopération engendrera d’exemples positifs, plus important sera le nombre de pays souhaitant renforcer leurs relations avec l’UEEA par un statut juridique particulier.

À grands pas

Les entreprises s’adaptent assez rapidement aux changements entraînés par la création de cette nouvelle entité. Par exemple, lors de l’entrée en vigueur, le 1er juillet 2011, de l’Union douanière et de la suppression des contrôles douaniers aux frontières intérieures de la Russie, de la Biélorussie et du Kazakhstan, la transition vers le nouveau format de travail s’est faite sans accroc pour les entreprises, qui s’y étaient préparées.

« Il y a bien eu, au début, des problèmes de coopération avec les services biélorusses chargés du contrôle vétérinaire et phytosanitaire mis en place à la frontière de l’Union douanière. Mais la situation s’est rapidement stabilisée », se souvient Natalia Volguina, directrice des achats chez AUCHAN Russie.

Les experts distinguent de nombreux éléments positifs dans la situation douanière actuelle de l’UEEA. Ainsi, depuis le 1er janvier 2014, la déclaration des marchandises au sein de l’Union se fait entièrement par voie électronique, et ce via 26 centres. […]

Alex Gene relève également la suppression de l’obligation de présenter une série de documents à la banque et la classification des participants aux échanges commerciaux. Selon lui, la réglementation douanière de l’Union économique eurasiatique a, de manière générale, des résultats très positifs : « L’UEEA a accompli en cinq ans ce qui en a demandé 25 à l’Union européenne. »

L’élargissement de l’Union profitera à tous, étant donné qu’il simplifiera les échanges commerciaux et le transport transfrontalier des marchandises et facilitera l’accès aux marchés.

Miser sur le dialogue

Malgré ces premiers succès, le fonctionnement de la nouvelle union présente encore nombre de problèmes sur lesquels il faut se pencher. « L’étape finale de tout projet lié au commerce extérieur, c’est l’accomplissement des formalités douanières, rappelle Evguenia Danilina, directrice commerciale du holding douanier Targo. C’est à ce moment précis que se révèlent tous les défauts et imperfections. Et il faut savoir que ce processus commence bien avant l’entrée effective des marchandises, en particulier dans le cas des équipements techniques. »

La conjoncture actuelle vient ajouter des difficultés à des procédures déjà compliquées : l’instabilité des taux de change, l’augmentation significative du coût des livraisons dans leur équivalent en roubles et la cherté des crédits d’acquisition d’équipement obligent les entreprises à revoir leurs projets à long terme. Ce qui ne manquera pas d’entraîner une diminution considérable des importations. Pourtant, Evguenia Danilina est persuadée que, si les sanctions sont maintenues, d’autres pays viendront rapidement occuper la place des exportateurs européens sur le marché russe. « L’expérience et la pratique montrent qu’après l’accalmie, les volumes de livraisons commenceront à croître, que ce soit dans l’alimentation ou dans les équipements industriels, estime Mme Danilina.
[.. ;]

Au fond, toute l’économie de l’Union est créée « à partir de zéro » : des règles communes sont instaurées pour les marchés des pays participants, qu’elles concernent la production d’alcool, l’électricité ou l’industrie pharmaceutique. Élément important : les chefs d’entreprises apportent eux-mêmes de nombreuses corrections aux nouveautés déjà en place – une preuve que le dialogue fonctionne bien au sein de l’Union économique eurasiatique.

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21 avril 2015 02:16
Révélations sur le crash de l’Airbus Germanwings 4U9525

LE VOL GERMANWINGS ABATTU PAR UN FAISCEAU LASER ÉTATS-UNIEN?

Un ami de HaBE a traduit l’article des services secrets russes (SVR) concernant le crash du vol de l’Airbus de Germanwings.

Selon les services secrets russes (SVR), Obama aurait été très en colère en apprenant que le vol Germanwings 4U9525 avait été abattu par l’Otan pendant des exercices militaires.

Il s’agit d’un blog public russe. Le texte proprement dit montre certaines connaissances techniques. Il mentionne également la frégate de la Flotte du Nord, la Severomorsk (désignation russe: gros chasseur de sous-marins), effectivement en patrouille en Méditerranée actuellement.

Des essais de tir laser états-uniens ont provoqué la destruction de l’avion de Germanwings transportant 150 passagers civils innocents

Le 26 mars 2015, le ministère russe de la défense a annoncé que les rapports de la Flotte du Nord indiquent que la chute du Boeing de la compagnie aérienne allemande Germanwings (vol 4U9525) serait le résultat direct d’un essai manqué de l’armée de l’air états-unienne avec le système laser HELLADS (High Energy Liquid Laser Area Defense System). Ce test a été effectué lors d’une tentative de lancement de missile balistique intercontinental (ICBM), la cible a été ratée, mais pas les 150 passagers civils qui ont trouvé la mort à bord de l’avion .

Selon le rapport transmis au Ministère de la défense par la Flotte du Nord actuellement en état d’alerte maximum, l’alarme a été déclenchée hier sur le contre-torpilleur russe Severomorsk, alors en manœuvres en Méditerranée. Alors que tout était normal, des anomalies électriques ont été détectées au-dessus du Sud de la France et de l’Italie, ainsi que dans l’ouest et le sud de la Suisse.

La région à partir de laquelle ces anomalies ont été provoquées était la Mer du Nord. Selon le rapport, cela correspond au secteur de mobilisation de la 510e escadrille de l’armée de l’air états-unienne, basée à Aviano, en Italie.

Curieusement, le rapport relève également que ces anomalies sont apparues dans la zone d’intervention de la 510e escadrille en même temps que les radars civils britanniques étaient aveuglés, ce qui est confirmé par un avis de l’Autorité de sûreté aérienne: «En procédant à des réglages avec Manchester, je vois bien l’A380 passer au-dessus de moi à Barcelone, mais rien sur le radar. Bizarre».

Le rapport du ministère de la défense russe indique que, pendant le décollage et l’atterrissage des bombardiers B1, les systèmes radar des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de l’UE sont souvent aveugles. Précisément comme hier, lorsque l’incident a été consigné à Manchester. Cela correspond vraisemblablement au déploiement d’un bombardier britannique B1, qui est équipé du système HELLADS de l’armée de l’air états-unienne.

Ce rapport mentionne également le fait que les structures militaires des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de l’UE mettent souvent en danger les vols civils sur tout le continent pendant leurs manœuvres militaires. L’année dernière, entre le 5 et le 10 juillet, pas moins d’une cinquantaine d’avions ont disparu par moments des écrans radar en Autriche, en Allemagne, en République tchèque et en Slovaquie.

L’aviation civile slovaque a reconnu cet aveuglement du radar dans un communiqué: «La disparition d’objets des écrans radar a été mise en corrélation avec les manœuvres militaires dans différentes régions d’Europe… dont le but était de couper les fréquences radio. Ces opérations ont provoqué la disparition temporaire de plusieurs objets des écrans radar, et ce bien qu’en même temps, les avions soient restés en contact radio avec les contrôleurs aériens et aient poursuivi leur route normalement.»

Toutefois, le rapport montre bien le danger que présentent ces manœuvres militaires occidentales pour l’aviation civile. En atteste l’incident survenu le 3 mars, signe avant-coureur de l’affreux accident du vol 9525 de la compagnie Germanwings qui s’est produit hier. À cause de l’armée de l’air états-unienne, l’Airbus A321 du vol LH1172 de la compagnie Lufthansa, qui volait à l’altitude normale, a brusquement plongé pendant plusieurs minutes, comme en atteste le diagramme du radar.

Voici le récit du reporter présent à bord sur cette brusque perte d’altitude du vol Lufthansa LH1172 survenue il y a deux semaines dans le Sud de la France, paru sous le titre Catching a Lufthansa Airbus A321’s Rapid Descent Live (la brusque perte d’altitude d’un Airbus A321 de la Lufthansa en direct) :

«Par moments, j’ai pensé assister à une avarie en temps réel à des milliers de kilomètres de l’avion. Heureusement, les pilotes ont réagi rapidement et se sont dirigés vers l’aéroport le plus proche.»

Sur AirlineReporter.com, la Lufthansa a confirmé que le vol LH1172 transportait 151 passagers, et que le capitaine a décidé d’atterrir à Nantes «à cause d’un problème médical» (passager malade). «Elle confirme que rien d’exceptionnel ne s’est produit et que l’avion s’est posé en toute sécurité »

À la différence du vol Lufthansa LH1172 dont il est question ici, le vol 9525 de Germanwings n’a pas été en mesure de corriger la perte brutale d’altitude… et l’avion et ses passagers ont été littéralement pulvérisés et disséminés sur les flancs d’une montage du Sud de la France.

Qu’est-ce qui a pu causer une destruction aussi complète de l’avion Germanwings 9525? Comme nous le constatons dans ce rapport et comme on l’a vu la première fois le 3 février, l’armée de l’air états-unienne a testé son système HELLADS sur des satellites météo réformés. Ce procédé consiste à faire augmenter la température intérieure des satellites et à les faire ainsi exploser dans l’espace.

Cependant, les spécialistes russes de la défense indiquent dans ce rapport que les systèmes laser chimiques (tels que les HELLADS de l’armée de l’air états-unienne qui ont frappé l’avion de Germanwings du vol 9525 et failli toucher le vol Lufthansa LH1172) sont connus pour le manque de précision de leur système de visée sur de grandes distances. En effet, l’atmosphère tend généralement à éparpiller leur rayonnement, lequel peut alors atteindre d’autres objets dans le voisinage.

Quant au scénario exact qui a conduit à la destruction du vol 9525, il s’agissait d’une opération de défense occidentale sous forme de test dans les couches denses de l’atmosphère simulant l’attaque de missiles nucléaires russes.

Le test dans les couches denses de l’atmosphère proprement dit? Il a échoué. Le test a été annoncé le soir précédant le lancement d’un missile intercontinental (ICBM), le lundi matin en Californie, par l’armée de l’air états-unienne. Il a été annoncé par le régime d’Obama comme «message au monde sur les capacités nucléaires de Washington».

Contrairement à ce qui était dit, ce message au monde était en réalité adressé à la Fédération de Russie, en représailles contre la destruction [virtuelle] du porte-avion états-unien Theodore Roosevelt, au moyen de la technologie margrav lors de jeux de guerre quelques semaines plus tôt, destruction [virtuelle] qui était le pendant de la mise hors d’état du navire US Donald Cook l’année dernière en mer Noire.

Malheureusement, ce rapport curieux indique que 37 avions de l’Otan participaient hier à ce test de tir de missile étatsunien et qu’un seul transpondeur aérien militaire italien était actif, celui qui a signalé la chute du vol Germanwings 9525 par le code d’alarme 7700.

Le fait que de nombreux pilotes allemands refusent aujourd’hui de voler est à imputer à ces manœuvres militaires des États-Unis dirigées contre la Russie, selon le rapport. La probabilité pour que l’Occident dise la vérité sur ce qui est arrivé au vol 9525 de Germanwings est aussi mince que pour ce qui a été dit sur la chute du vol MH117 de Malaysian Airlines. Les relevés satellitaires indiquent qu’il a été abattu par un chasseur ukrainien. Cette probabilité peut donc être considérée comme nulle.

Des témoins de la chute de l’avion ont déclaré aux représentants d’Air France avoir entendu une explosion et vu de la fumée de l’A320 de Germanwings «peu avant qu’il ne s’écrase dans les montagnes près de Digne», confirmant indirectement la version exposée ici. Un pilote d’hélicoptère a également déclaré que des débris de l’avion ont été trouvés plus haut dans la montagne que le site du crash, ce qui, selon ses dires, confirme qu’une partie du fuselage s’est «rompue avant que l’avion ne s’écrase».

Traduit par Gilles Chertier pour le Saker Francophone

En savoir plus : Le pilote du vol Germanwings aurait aussi été aveugle !

Article original en russe

vu sur http://newsstreet.ru/blog/12096.html

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20 avril 2015 16:54
L’Etat Islamique planifie l’invasion de l’Europe depuis la Libye

Des plans de l’Etat Islamique (EI) pour conquérir l’Europe via la Libye ont été révélés par un groupe anti-terroriste britannique, Quilliam. En raison de son emplacement continental idéal, les combattants de l’EI souhaitent utiliser ce pays comme passerelle pour faire transiter des combattants d’Afrique du Nord par la Méditerranée.

La stratégie de l’Etat Islamique est de transporter illégalement des combattants par la Méditerranée, de Libye vers les différents ports d’Europe du Sud, comme Lampedusa en Italie (qui se situe à moins de 500 kilomètres de distance des côtes libyennes) et ainsi débuter la guerre sur l’ensemble du sud de l’Europe.

Le document est rédigé par un membre important de l’Etat Islamique d’Irak et du Levant, connu sous le pseudonyme d’Abu Ibrahim al-Libim. Il est considéré comme un recruteur influent sur Internet. Les analystes le considèrent comme un propagandiste influent et très suivi.

« Twitter a fermé à plusieurs reprises les comptes de Libim et à chaque fois qu’il crée un nouveau compte, il reçoit des milliers d’adeptes très rapidement, typique d’une importante influence » a déclaré Charlie Winter, chercheur à la Fondation Quilliam.

Les plans de Libim se composent d’une première phase, qui repose sur l’utilisation d’immigrants illégaux pour débarquer en Europe du Sud, puis d’une seconde phase, avec des attaques tous azimuts sur l’Europe méridionale, avec pour objectif de semer la violence et le chaos.

Les membres de l’EI espèrent réunir en Libye toute une armée de combattants originaires de Syrie et d’Irak pour envahir l’Europe.

« Nous allons conquérir Rome, par la permission d’Allah, » affirme le groupe dans une vidéo publiée dimanche exposant la décapitation de 21 égyptiens coptes – vidéo qui a conduit l’Egypte à organiser une campagne de bombardements sur des positions de l’Etat Islamique en Libye. Dans la vidéo, la Libye est décrit comme ayant « un immense potentiel », notamment avec les tonnes d’armes, de munitions et de pétrole laissés sur place après l’éviction du colonel Mouammar Kadhafi en 2011.

Les services de renseignements italiens ont pour leur part intercepté des conversations téléphoniques dans lesquelles l’État Islamique menace de faire venir en Europe 500.000 à 700.000 migrants embarqués sur des centaines d’embarcations afin de frapper « psychologiquement » l’Europe si celle-ci décidait de s’attaquer à la Libye. Dans le même temps, les partisans de l’État Islamique « se mélangeront » aux demandeurs d’asile qui traversent la Méditerranée, pour être ainsi accueillis en Europe.

Plus de 207 000 personnes ont tenté cette année de rejoindre l’Europe depuis la Méditerranée.

Sources : Quilliamfoundation / RT / The Telegraph / DailyMail / Le Journal du Siècle

vu sur : http://www.wikistrike.com/2015/04/l-etat-islamique-planifie-l-invasion-de-l-europe-depuis-la-libye.html

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
18 avril 2015 17:57
Le Traité Transatlantique dans nos assiettes, en une image

Cette image parle d'elle-même, le transatlantique qui nous américanise un peu plus, sans que le peuple européen ne puisse s'y opposer, est un vértitable danger. Voyez ci-dessus ce qui pourrait changer dans vos assiettes... Inquiétant.

WikiStrike

vu sur : http://www.wikistrike.com/2015/04/le-traite-transatlantique-dans-nos-assiettes-en-une-image.html

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
18 avril 2015 13:23
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
18 avril 2015 02:43

D’abord vient la shoah. Puis la traite négrière. Et puis c’est tout. Car l’ordre mémoriel a ses priorités sur l’échelle du Mal. Et ses amnésies.

Dans les médias, les programmes scolaires et la Loi, les rôles sont clairement définis entre victimes et coupables héréditaires, devant le tribunal de l’Histoire, et corollairement entre privilèges de discriminés positivement et devoirs de repentis : les uns sont condamnés à payer des crimes qu’ils n’ ont pas commis auprès d’autres qui ne les ont pas subit. Mais l’Histoire n’est pas si manichéenne et présente des évènements ébranlant ce verdict. Gare à celui qui ressuscite ces oublis volontaires.

L’esclavage arabo-musulman de millions d’Africains dérange (voir cette interview de Tidiane N’Diaye). Les premiers n’y sont guère à leur avantage. Les historiens osent peu en parler par crainte de suspicion de mal-pensance et d’excommunication pour délit de croc-en-jambe dans la course à la victimisation et à la repentance.

Mais il est un esclavage encore plus enfoui dans les tréfonds de la mémoire officielle. L’Histoire en fournit pourtant maint témoignages, comme cette lettre à la Reine datée de 1643 intitulée Les larmes et soupirs de deux milles François esclaves dans l’enfer d’Alger en Barbarie à la Reine régente, mère de Louis XIV.

Durant les siècles que dura cet esclavage, des Français organisèrent, au péril de leurs vies, des missions de sauvetage pour racheter la liberté de leurs compatriotes captifs, tenant à cette occasion des sortes de listes de Schindler : des litanies de noms, de prénoms, d’âges, d’années d’asservissement, de prix de rachat. Vous n’en avez probablement jamais entendu parler.

Tellement incorrectes, ces listes témoignent ligne après ligne de vérités à contre-courant des priorités mémorielles de la doxa contemporaine.

La plupart des listes qui suivent ont été rédigées par des Trinitaires, un ordre religieux fondé à Cerfroid (Picardie) en 1194 par les Français Jean de Matha et Félix de Valois.

Le symbole des Trinitaires est une mosaïque datant de 1210 qui représente Jésus libérant deux captifs, un blanc et un noir. Un ordre similaire, fondé en 1218 à Barcelone par Pierre Nolasque, est celui des Mercédaires. Ces ordres dits de « rédemption des captifs » avaient pour mission de récolter des dons puis d’aller négocier le rachat des esclaves victimes de la traite arabo-musulmane et plus particulièrement les Français aux mains des Barbaresques en Afrique du Nord.

Ces missions faisaient l’objet de compte-rendus dans lesquels apparaissaient les listes dont certaines sont données ci-dessous. Les liens vers les documents originaux numérisés par la BNF (bibliothèque nationale de France) sont disponibles en fin d’article, ainsi que des témoignages d’époque.

suite sur : https://maitrederville.wordpress.com/2010/07/22/listes-desclaves-francais-des-barbaresques/

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